Un souffle d’azur, une musique intérieure, des frissons tissés de lumière… Ce poème est un voyage sensoriel, un rêve où l’éphémère et l’espérance s’entrelacent. Bravo pour cette écriture fluide, riche et doucement céleste.
Merci
Un poème poignant, tout en clair-obscur. On sent la lutte intérieure, l’amour qui déchire, et cette lumière finale qui apaise. Bravo pour ces images fortes et sensibles !
Merci Léo, je commence à comprendre le fonctionnement et je vois que des déblocages ont eu lieu.
J’ai rajouté sur le 1er chapitre un épisode de vacances et des modifications quand nécessaire.
La puissance d’une histoire que l’on penserait enfoui à jamais et pourtant… Sam a bien raison de parler de fêlure, une faille discrète et invisible jusqu’au jour, ou dans ce cas un prénom vient tout raviver. Et imprimer le vertige, l’effroi du vide s’il n’obtient pas ses réponses. c’est aussi une mémoire ravivée qui va à la rencontre de tout ce qui a changé, et qui peut-être sera aussi préservé. On suit André dans les pas de l’incertitude.
Il y a un tourbillon de vie qui lutte face à la maladie, entre sensualité, lucidité et douleur. Le corps charnel de l’amour et désormais hôte de la maladie. La puissance de l’esprit en allier, entre philosophie et spiritualité. Ismahane a tout d’une guerrière même si elle est vulnérable et on le serait à moins en apprenant une telle nouvelle. Il semble aussi que sa relation aux autres, amants, médecin, est aussi une source d’énergie afin de l’aider à lutter efficacement. Aimer, souffrir, et rester digne et debout face à l’incertitude. A plus tard Sam.
Le désert affectif d'un enfant au milieu des siens, l'absence de mots, la rareté du geste tendre peuvent avoir de graves répercussions sur la psychologie des enfants. Et si une imagination hypertrophiée doublée d'une inconscience s'en mêle, on peut aisément s'inquiéter. " Ils l'aimeraient une fois mort " ... Un constat qui peut dans les cas extrêmes entrainer des gestes fatals ... Hâte de lire la suite. Merci du partage 🍀
J'aime ce texte qui avance avec beaucoup de simplicité et de profondeur certaine. Ça me rappelle L'Arrangement d'Elia Kazan, vieux film qui dit les fêlures humaines, les difficultés des lignes droites et des vies tracées. Merci du partage Marie-Noëlle Bertrand.
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Je viens de trouver où mettre mon commentaire sur le texte...
C'est beau, c'est fort. C'est triste, mélancolique et plein d'espoir en même temps. On a envie de connaître le chemin de cette femme forte et déterminée à continuer à en découdre avec la vie.
Merci cher Léo, il m'importe de dire l'humain dans sa grandeur et dans sa fragilité et surtout dans ce qu'il décide pour lui-même. Je trouve que c'est précisément cela vivre : mettre du sien, avec rationalisme.
Amitiés et merci de ton aide.
Sam
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Pour le faire participer il faut faire comme Marie-Noëlle, se rendre sur la page de l’atelier, cliquer sur « sélectionner un texte », choisir celui-ci donc et valider. Et pour te répondre au fond de ton texte, de l’importance des mots… la communication joue un rôle essentiel dans le développement humain, ça et tu l’abordes aussi très bien dans ton texte : le regard. Se sentir exister et aimé dans le regard des autres et à commencer par « les siens » c’est aussi très important. A plus tard.
Merci Léo, très belle analyse. Et je suis entièrement d’accord avec vous, que l’école aurait certainement un rôle à jouer. Le fait est, comment trouver cet enfant qui ne laisse rien paraître… c’est très très compliqué et cet enfant aura une vie bien difficile dans les épisodes suivants. Un écorché vif qui malgré tout aura du courage beaucoup de courage.
Je ne sais pas si j’ai entré ce récit dans le challenge 7 ou 8 jours pour un récit !
I still find it difficult to understand
Merci beaucoup
Michel
Je suis heureux de voir que tu as trouvé le chemin des textes longs à chapitre qui peuvent comme c’est le cas dans ce texte suivre la progression d’un récit . Dans ce second chapitre on s’aperçoit du drame que génère l’absence d’éducation et de compréhension des émotions qui génères toujours plus d’agressions sous toutes leurs formes et de victimes sous toutes leurs formes également. A toutes ces absences s’ajoutent comme tu le dis si bien les hormones et ces changements déstabilisants liés aussi au corps, ce qui n’arrange rien à rien… dur la condition d’être humain. Et l’on s’aperçoit de l’importance des mots, avant comme après, qui sont souvent des points de passages essentiels (incontournables ?) pour continuer d’apprendre et d’évoluer.
Bonjour Michel, ton texte bouscule et prend au tripe car tu parviens à bien partager la situation et l’émotion vécue. A la question est-ce que l’on est fou en imaginant certaines situations, la réponse est non je pense. De nombreux enfants par exemple se créent un personnage imaginaire. Cela peut paraître effectivement fou, sauf que cette création imaginaire, permet à l’enfant de provoquer des situations ou des dialogues dont il peut avoir besoin pour se développer. Cela arrive souvent avec des enfants seuls, et c’est donc plus un signe de bonne santé mentale puisque ce faisant il échappe à l’aliénation à certaines situations dont l’enfant ne voit pas d’issue possible. Lorsque des enfants jouent seuls avec des figurines ou poupées, ils les font parler simultanément et cela semble naturel et source de créativité « qu’est c’e qu’il s’invente comme histoire ». L’ami imaginaire ou tout autre imagination c’est la même chose, sauf qu’il n’y a pas l’objet (ou le dessin) pour servir de transfert à ce besoin et même parfois cette nécessité pour se construire, car l’on se construit aussi à travers des pensées et des idées qu’il faut bien faire exister d’une manière ou d’une autre s’il n’y a rien. En revanche, ce qui est source d’énormément de mal être qui peut conduire à des drames et même plus tard à de gros déséquilibres chez l’adulte, c’est de n’avoir pas compris et appris de ses émotions. Et ne sachant les gérer (et parfois même, ne pas les identifier tout court car le panel des émotions est très vaste et apprendre à connaître toutes les nuances et ressors des émotions n’est pas aisé), peuvent conduire à de la confusion et même des schémas de pensées ou de comportements qui ne reposent pas sur « de bons rails » ce qui peut conduire certaines personnes à dérailler, et même dérailler encore puiqu’il est difficile de comprendre et parfois remonter tellement loin dans le temps, pour comprendre toute cette mécanique et pourquoi l’enfant a pu se trouver par défaut et sans aide ni accompagnement de personnes éclairées… sur de bons rails. Je reste persuader qu’il faudrait que l’école puisse transmettre cette connaissance (émotions, comportements qui y sont liés…) car ce sont des socles et des bases indispensables pour apprendre à se connaître soi et être attentif aux autres et pouvoir les aider le plus tôt possible. Victor Hugo disait, "l’éducation c’est la famille qui la donne, l’instruction c’est l’Etat qui la doit » mais aussi, très complémentaire : « Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons », ce qui est vrai… à la condition que ce qu’on y apprend, permette effectivement de mieux comprendre l’humain, ce qui n’est pas toujours le cas, à commencer par l’absence d’apprentissage des émotions dans toutes leurs nuances. A plus tard Michel.
Quoi d’autre que l’annonce de ce qui peut-être la mort pour vivre autrement et tout changer. Qui ne s’est jamais posé la question « s’il te restait 24h à vivre que ferais-tu ? Ton approche dans cet atelier d’écriture est vraiment très bien pensée et amène du coup une attention supplémentaire et une grande empathie du lecteur. Vraiment bien. Tu peux faire participer ton texte long au sein de l’atelier. Va sur la page de l’atelier, clique sur le bouton "sélectionner un texte » et choisit ce texte afin qu’il soit référencé dans l’atelier et que les autres participant puissent aussi lire ton histoire. Encore bravo Sam, un texte très émouvant.
Je lisais que « au moins 5.600 personnes tuées par la violence des gangs en 2024, 85 % de la capitale ». C’est accablant, un drame qui résonne dans ton indignation et la cruauté qu’il vous est donné de vivre. Je pense fort à toi Gilbert. Bon courage à toi et à tous les haïtiens qui se voient leur vie gâchée et amputé par toute cette violence…
Oupss le chapitre 2 est posté dans un « autre livre ». Il faut ouvrir le mème projet et ajouter à la suite. Il est possible d’ajouter des chapitres de les supprimer et même d’en insérer.
Bonsoir Stanislas, un changement de style radical qui n’est pas pour me déplaire, c’est très bien d’être surpris dans ses lectures. Le fait que l’on ne sache rien de l’extérieur intrigue et c’est un bon ressort pour attiser la curiosité et attendre la suite. A plus tard.