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Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
CHOU
Publié le 17/07/2025
merci léo pour ce gentil commentaire...
J'aimerais retrouver les mots
Publié le 17/07/2025
Les mots sont des caméléons qui prennent la couleur de nos émotions, ce que le coeur exprime, les mots l’illumine…
CHOU
Publié le 17/07/2025
Encore plus émouvant en prenant connaissance de votre commentaire. Les silences sont plein des gens que l’on aime et que l’on a aimé lorsque l’on en a besoin, ils sont et seront toujours là pour qui cultive leur souvenir. A mlus tard.
Citron pressé
Publié le 17/07/2025
Apprendre à lâcher prise et à ne rien regretter… un texte sincère, merci du partage.
CHOU
Publié le 17/07/2025
Je m’excuse pour le chat Bien à vous Salima 🕯️ il est dans la constellation des âmes et toujours il brillera. 😘
Cymophobie naissante
Publié le 17/07/2025
Beaucoup de courses pour cela et son départ de la plage dans la foulée. Merci.
CHOU
Publié le 17/07/2025
Bonjour Michel Il s'agit de mon conjoint décédé; Merci pour ce beau message;
Le Horla - Guy de Maupassant - 1887
Publié le 17/07/2025
J’ai lu Le Horla je ne sais combien de fois — c’est une nouvelle qui me fascine à chaque relecture. Ce glissement imperceptible vers la folie, cette frontière trouble entre le réel et l’invisible, me captivent toujours autant. Mais c’est en le découvrant récemment au théâtre que j’ai été bouleversé. La mise en scène, épurée et tendue, donnait chair à l’angoisse du narrateur. Le comédien incarnait à la perfection ce basculement intérieur, entre lucidité et délire. Le texte, déjà puissant à la lecture, y devenait presque suffocant d’intensité. Une œuvre magistrale, à la fois littéraire et scénique, que je redécouvre encore autrement.
A la recherche du temps perdu, de Marcel Proust
Publié le 17/07/2025
Commentaire sur À la recherche du temps perdu J’ai lu cette œuvre dans son intégralité, et je continue à en relire régulièrement des passages tant elle m’habite. À la recherche du temps perdu est, à mes yeux, un monument littéraire d’une beauté rare. Chaque phrase semble ciselée, chaque détail de la mémoire ou de la sensation ouvre un monde. Ce qui me frappe aujourd’hui encore, c’est à quel point cette œuvre, pourtant ancrée dans une époque révolue, pourrait parfaitement s’adapter à notre temps. Le rapport au temps, à la mémoire, à l’intime, aux apparences sociales, tout cela reste d’une actualité bouleversante. Proust ne raconte pas seulement une époque, il dissèque l’âme humaine, avec une acuité qui traverse les siècles. Un chef-d’œuvre que je considère comme inépuisable. Il y a des passages inoubliables que je peux m’empêcher de relire
La métamorphose, de Franz Kafka
Publié le 17/07/2025
La Métamorphose de Kafka — ou l’actualité d’un cauchemar lucide Kafka écrivait en 1915, mais on s’y croirait aujourd’hui. Un homme qui se lève un matin transformé en insecte, et aussitôt rejeté, exclu, enfermé dans sa chambre. Voilà une image qui, plus d’un siècle plus tard, fait toujours frissonner. Car ce n’est pas de science-fiction qu’il s’agit, mais d’un miroir. Aujourd’hui encore, il suffit de ne plus être “productif”, “conforme”, “présentable” — et on disparaît. On devient invisible, voire gênant. Comme Gregor, on est prié de se faire tout petit. Ou de s’enfermer. Cette métamorphose, c’est celle que vivent tant de gens : • ceux qui s’effondrent au travail, • ceux que la société isole parce qu’ils ne rentrent plus dans les cases, • ceux qui n’ont plus la force, plus la place, plus le masque. Kafka, sans le savoir, écrivait déjà le scénario de nos solitudes modernes. De nos burn-out. De nos dépressions déguisées. De nos familles qui s’éloignent. De notre monde qui classe, trie, jette. Gregor Samsa n’est pas un monstre. C’est un homme qui ne sait plus où mettre son humanité. Et c’est bien ça, le plus effrayant.
Ce cœur qui lutte. Sans F
Publié le 17/07/2025
Un texte d’une grande douceur, pudique et vrai. On sent battre un cœur qui résiste, qui espère.
Je t'arrache
Publié le 17/07/2025
Des éclats de rage et de lumière. Un cri d’être. J’ai été saisi par la grève du miroir. J’adhère
J'ambule à tes mots
Publié le 17/07/2025
L’immonde! comment l’éteindre ?
L’abondance et l’abandon
Publié le 17/07/2025
Merci pour votre lecture attentive et vos mots. Oui, il y a dans ce texte un contraste volontaire entre légèreté et gravité, comme une fable un peu déguisée. L’escargot m’a semblé être un bon symbole pour parler de lenteur, de repli… et de résistance. Et j’aime beaucoup votre phrase : la douleur n’est qu’à une lettre de la douceur. Elle aurait presque pu être la chute !
J'aimerais retrouver les mots
Publié le 17/07/2025
Ce texte me touche. Il y a dans ces mots une nostalgie pure, une candeur perdue qu’on voudrait retrouver, ne serait-ce qu’un instant. La première partie est lumineuse, presque cosmique, on y sent la magie des débuts, cette sensation d’invincibilité qu’on ne reconnaît qu’une fois qu’elle s’est enfuie. La seconde est plus grave, plus incarnée, et dit avec pudeur cette douleur de n’avoir pas été vu, d’avoir joué “le rôle d’inaperçu”. C’est à la fois universel et intime, léger et dense. Merci pour cette émotion.
Cymophobie naissante
Publié le 17/07/2025
Intense, presque irréel. L'envie de courir pour le sauver de la mer et de la mère.
L’abondance et l’abandon
Publié le 17/07/2025
Pourquoi des escargots ? Un lien avec l'abondance ? A la lecture je suis partagé. C'est un sujet difficile a aborder donc bravo pour cela. Le titre est magnifique. Je suis désarçonné car certains vers sont percutants avec un message fort: "... qui n'ont pas d'abonnés et vivent sans poster" et d'autres sont légers au risque de s'y perdre. Peut être un contraste afin de montrer que la douleur n'est qu'à une lettre de la douceur!
Les contemplations, de Victor Hugo (Autrefois)
Publié le 17/07/2025
Un chef-d’œuvre de la poésie française. Hugo y mêle l’intime et l’universel, le deuil et la lumière. Chaque poème semble naître d’un souffle profond, d’une douleur transcendée. Un recueil bouleversant à lire et relire.
Petit extrait de "Madame Bovary".
Publié le 17/07/2025
Quel style ! Flaubert a vraiment l’art de démasquer avec élégance. Un extrait piquant et savoureux.
Citron pressé
Publié le 17/07/2025
Un texte sincère et plein d’émotions. L’amour y est décrit avec ses contradictions, entre douceur et douleur. Merci pour ce partage.
CHOU
Publié le 17/07/2025
Un très beau texte, plein de tendresse. “Chou” semble être quelqu’un – ou peut-être un chat ? – qu’on aime profondément, avec respect et douceur. J’ai été touché par la façon dont le texte glisse doucement vers quelque chose de plus intime, plus douloureux. Une sorte de déclaration d’amour silencieuse, pudique, et très émotive. Merci pour ce partage.
Petit extrait de "Madame Bovary".
Publié le 16/07/2025
Lorsque tu maîtrises les lettres à la perfection, tu peux tout dire avec classe.
Esméralda fracturée
Publié le 16/07/2025
Merci d'avoir apprécié ce conte fantastique, Léo. Merci aussi pour tes commentaires.
Cymophobie naissante
Publié le 15/07/2025
J'ai bien connu les baïnes sur les plages landaises… Je ne connaissais pas la débâcle glaciaire par contre. Je garde donc l'expression sous le coude ou la plume. Quant à la fameuse "écriture quantique", cela me ramène à loin, du temps où mon éditrice était venue me chercher pour "je ne sais pas pourquoi, mais j'aime votre structure, quel que soit le thème". Serait-ce le style que l'on se cherche ? En tout cas, merci pour ce retour.
Cymophobie naissante
Publié le 15/07/2025
J’ai découvert dans votre texte le terme Cymophobie et j’ai aussi pensé au terme connexe baïnes qui sont des «  courants d’arrachements », provoquant également la noyade. Il y a de cette violence dans la rupture que vous évoquez, rupture de la surveillance et arrachement de cette confiance à celles et ceux qui sont censés anticiper et protéger. Et, je ne sais si vous le savez, mais la débâcle qui signifie « déroute » est aussi un phénomène météorologique de rupture brusque (de la couverture de glace). Je ne saurais l’expliquer pour l’instant, mais il y a dans vos écrits aux thématiques tellement différentes une forme d’unité formelle malgré les apparences, peut-être s’agit-il de la fameuse écriture quantique qui m’a traversé l’esprit. Bonne soirée.