Une plume magnifique trempée dans le désir et les sonorités sensuelles. Comme Patrice, c'est le passage qu'il cite qui m'a définitivement emporté. Et j'aime aussi qu'il y ait une partance, cela renforce la puissance de l'instant, c'est ce qui est éphémère et insaisissable qui est rare et précieux. Merci.
J’ai ri à l’intitulé de ton commentaire. Rappel d’un copain de lycée qui, dès qu’il le pouvait, plaçait son “chaud boulette” ! Quant au texte : à la fragrance d’herbe fraîchement coupée, les fibres d’un cerveau bien à l’ouest sont passées du coquelicot à la châtaigne, allez comprendre ;)
Quel érotisme ! L'ambivalence et les sonorités ont mis le feu ! Très chouette ! Carrément torride!
"Sa langue pénétrant comme une pleine lune la demeure secrète.
J'ahanne, exulte ; m’étherifie, et m’évapore." Boum ! J'explose !
;-)
J'en rougis. et dire qu'au début, je comptais déclarer forfait. Je suis aussi assez content finalement du résultat. Belle illustration qu'il faut écrire et écrire encore pour savoir ce qu'on est capable d'écrire. Merci encore Allégoria !
J'en rougis. et dire qu'au début, je comptais déclarer forfait. Je suis aussi assez content finalement du résultat. Belle illustration qu'il faut écrire et écrire encore pour savoir ce qu'on est capable d'écrire. Merci encore Allégoria !
Très très fort : l’angle de la star bien vu, l’humour, le rythme, la chute jusqu’au style familier et l’écriture fine, tout y est ! Eros, les copines, le bar, le Kenya, ça rebondit et on en lirait bien un peu plus. Merci Patrice pour ce texte qui vivifie et dynamite :)
Comme toujours, je me suis inspiré d'histoires dont j'ai été témoin. Le billard, c'est Joe Dassin dans les années 70 à Lessines. Mon cousin, qui était un vrai connard, était dans son bistrot habituel. Joe et ses musiciens sont arrivés pour boire un verre. Mon cousin a tellement insisté pour faire un billard qu'ils se sont tous barrés. Il y a aussi Isabelle Adjani que j'ai accueilli ici au théâtre où je travaille. Des gens attendaient pour avoir un autographe. J'ai parlé avec certains d'entre eux. C'était surréaliste. Pour la transposition, tu sais que j'aime être direct alors la déesse, ça me paraissait pas du tout pour moi. J'avais décidé de ne pas participer. Et puis l'idée m'est venue. Ce qui est drôle, c'est qu'au début, je n'avais pas vraiment l'histoire pour l'environnement. C'est au fur et à mesure qu'elle est apparue. Surtout la finale. Je ne voyais pas de chute et puis elle m'est apparue. Merci ! Et bise !!!
Comme toujours, je me suis inspiré d'histoires dont j'ai été témoin. Le billard, c'est Joe Dassin dans les années 70 à Lessines. Mon cousin, qui était un vrai connard, était dans son bistrot habituel. Joe et ses musiciens sont arrivés pour boire un verre. Mon cousin a tellement insisté pour faire un billard qu'ils se sont tous barrés. Il y a aussi Isabelle Adjani que j'ai accueilli ici au théâtre où je travaille. Des gens attendaient pour avoir un autographe. J'ai parlé avec certains d'entre eux. C'était surréaliste. Pour la transposition, tu sais que j'aime être direct alors la déesse, ça me paraissait pas du tout pour moi. J'avais décidé de ne pas participer. Et puis l'idée m'est venue. Ce qui est drôle, c'est qu'au début, je n'avais pas vraiment l'histoire pour l'environnement. C'est au fur et à mesure qu'elle est apparue. Surtout la finale. Je ne voyais pas de chute et puis elle m'est apparue. Merci ! Et bise !!!
Bien vu l'idée de la déesse-star harcelée par ses idoles: les simples mortels.
L'image de la femme seule à élever trois enfants est forte également.
Enfin j'aime beaucoup l'idée que ce soit ses enfants qui l'interpellent sur son propre comportement face à l'environnement: en effet ce combat sera mené par la jeunesse.
Bravo et merci pour ce texte.
Amour quand tu nous tiens!
De ton texte je retiens: songe, désir, inconnu, interdit, disparition, séparation: un texte riche en émotions et en images plus osées qu'à ton habitude. La douleur derrière tout cela.
Bon courage
Merci Joye pour cette lettre d’amour de maman. Elle fait écho chez moi au conte de la petite poule rousse, et m’emporte loin à travers quelques souvenirs :)
Merci Patrice pour cette touche sur le papier, ce soupçon de construction de soi. J’ai pensé un peu comme Léo au carnet d’un auteur : on a une idée dans la tête, et on se presse de l’écrire de peur qu’elle s’échappe, et on la note avec tout ce qu’elle amène sur son passage :)
Ça commence large avec peu de de détail et ça se resserre jusqu’à comprendre que cette poule là est vraiment unique et spéciale. Ce qui est intéressant du point de vue du lecteur c’est de se voir dirigé bien malgré soit dans l’entonnoir à émotion. Merci de ce partage.
Merci beaucoup, une très belle chute qui vient couronner un texte plein car passionné, et à la description rigoureuse et suffisante pour nous embarquer. Les plus belles choses qui nous arrivent sont toujours celles qui nous manquent le plus…
Probablement, mais c’est bien aussi de poser ses fulgurances, au moins ce n’est pas perdu. Il n’y a rien de pire pour un auteur que de perdre à tout jamais les mots justes, même s’ils sont désaccordés.
Un texte rapide du fait qu’il y ait pleins d’infos, plein de pistes et réflexions. Ça réveille et ca boost et comme l’amour est de saison c’est léger comme il faut pour une excellente lecture de fin de semaine comme je le fais. J’aime bien aussi quand ça part dans tous les sens. À plus tard.