Les bons mots sur la plus belle des pages qui a su les accueillir et les respecter, une rencontre salvatrice qui permet de bâtir de nouvelles fondations pour de nouveaux récits à suivre, merci de ce partage, à plus tard Mich.
Salut Plutus, tu peux intégrer la vidéo à la fin de ton texte en cliquant dans l’éditeur de texte du peuple des mots sur le symbole de la terre (cadre de contenu incorporé) puis en collant le lien dans le champ URL, puis en validant sur OK. C’est très rythmé et le flow est vraiment bien distribué. Tu as quelques coquilles à corriger dans ton texte sinon le rendu est vraiment bien, l’emprise par les visions qui raviront tout sur leur passage et aliéneront qui osera en croiser le regard, cela m’a fait penser à Méduse même si l’apparence semble dans ton texte semble s’accommoder de bien plus de grâce. A plus tard Plutus.
Tout l’éclat du début de ton poème va rapidement laisser place à la désillusion qui masquait jusqu’alors l’horreur dans la décomposition du moindre espoir. On perçoit bien la force occulte qui suspend le danger et entretient la menace, se joue du temps et de sa mécanique, huilée des vérités qui alimenteront la culpabilité. L’ablation de l’énigme, c’est le retrait sans condition des solutions… merci très cher Francis-Etienne de ce poème intense.
Le temps, ce maître de tout qui à la fois libère et condamne, celui qui permet de faire de la vie une expérience unique et précieuse, jonchée de nombreuses épreuves à relever pour profiter de ce qu’il reste de temps heureux que l’on aura su se procurer. Des épreuves, mais aussi quelques haltes qu’il est bon de saisir, quelques repos qui nous aident à mieux préparer les nouvelles étapes du voyage. A plus tard Lucie.
Quelle image que ces pêcheurs d’âmes à la dérive… et je n’ai pu m’empêcher ensuite de penser au chemin de croix sur le parcours du calvaire. Comme si le sacrifice des mots pouvait sauver les hommes… car en vérité tout est affaire de mots car ce sont eux qui témoignent, se transmettent, entretiennent la mémoire et fixe les apprentissages, quand bien même ils semblent parfois bien vains. Merci pour ce nouveau très beau poème.
J’ai ressenti toute la force d’une lutte pour préserver les lumières salvatrices avant que la force du coup du sort n’emporte tout sur son passage… l’intrusion du bruit dans le second quatrain semble annonciatrice du déclin à venir, dont les cendres que je n’ai pu m’empêcher de penser au prophétique « poussière, tu redeviendras poussière » qui n’est autre qu’inéluctable. Mais comme l’on dit ce n’est pas la finalité qui compte, mais le chemin parcouru et ses apprentissages. A plus tard Francis-Etienne.
Je l'ai lu, il est bouleversant. Il raconte comment l'homme tue un être de son espèce en l'empoisonnant mentalement et physiquement, mais aussi comment renaître après une expérience aussi terrible. Je conseille vraiment la lecture !
C'est un très beau poème Ioscrivo, tu arrives bien à évoquer l'espoir auquel on s'accroche lorsqu'on est face à une difficulté dont on ne voulait pas. C'est touchant, les mots sont bien choisis. C'est courageux d'arriver à exprimer tout cela ! Bravo !
Grand Bravo loscrivo, je trouve ton poème très réussi, touchant sans en faire trop, sans jeu de mot inutile qui desservirait le propos. Un poème authentique avec un gros faible pour la dernière partie.
"Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles. » disait Oscar Wilde, et ton poème perché tout en haut dans un havre de paix et de quiétude transcende les idéaux.
Un tendre onirisme pour dire que l'amour fait avancer ensemble. Avec "Avec toi sur mon dos" je vois aussi un cheval ou un âne s'adresser avec tendresse à son humain. C'est que j'ai une imagination galopante ! (Rires)
Les mots, et leurs auteurs trouvent toujours un nouveau support pour exister. C'est leur manière de résister à la censure. Ces livres brûlés me rappellent Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, où le totalitarisme les élimine dans un grand feu, condamnant la culture à ne suivre qu'une seule direction : celle du pouvoir. Ce qui entraîne une prise de conscience : écrire pour continuer de faire vivre le langage. Merci pour ce texte !
Un amour sensible, les larmes de joie quand on réalise qu'on a trouvé la bonne personne. Enfin, saisir l'éphémère entre les mots pour le graver à jamais. Très touchant !
La ponctuation donne du relief au rythme qui, lui-même, donne du sens à ce temps trop rapide qui consume l'amour qui n'a pas le temps d'être vécu. Le temps, on aimerait l'arrêter mais c'est impossible. Il faut profiter au maximum des moments qui nous sont offerts.
Bonsoir et merci Valérie de votre participation au défi d’écriture spontanée. Une liste peu réjouissante et pourtant bien réelle. La conclusion de votre texte laisse la place aux possibles et finit sur une belle bouffée d’air frais qu’il nous faudrait collectivement parvenir à instaurer. Pour faire participer votre texte à l’atelier, cliquez sur l’onglet « L’atelier d’écriture et ouvrez la page de l’atelier en cliquant sur « voir la suite », pis cliquez sur le bouton violet « Sélectionner un texte » et sélectionner le titre de ce texte en cliquant sur « participer avec ce texte » et le tour est joué, tous les autres participants sauront notifiés de votre participation. A plus tard.
Merci de votre commentaire. Je viens aussi de ce monde et c'est en regardant le tableau qui illustre le texte que l'inspiration m'est venue. Tableau dont j'ignore l'auteur
Prise par l'atmosphère, souvenirs de fins de vie qui remontent, je ne sais pas vraiment "critiquer" un texte, me fiant au ressenti. J'y vois la vieillesse, la tristesse, l' amertume collant au paysage. C'est bien rendu.
Très bien décrit. Je les vois ces ouvriers et cette oeuvre gigantesque. Je les imagine.
Native d'un village ouvrier, j'ai toujours eu du respect pour les bâtisseurs.
Je fais les choses pour moi, mais aussi pour les autres. Témoigner permet à ceux qui n'y arrivent pas de trouver le courage de se lancer. Briser le silence n'est pas facile sauf quand il apparaît nécessaire. C'est ce qui m'a aidé à composer ce texte. Ce dernier t'apportes peut-être des réponses concernant le texte "Personne". Quant aux questions je me les pose parce que, certes, se dévoiler comme cela montre une grande confiance de l'autrice à ses lecteurs/lectrices, mais il ne faut pas toujours trop en dire sinon les ennuis débarquent. J'essaie à chaque fois de trouver un juste milieu.