Vraiment bravo Stanislas, le premier chapitre m’avait plu, et la suite est vraiment à la hauteur. Je savais que tu en avais sous le coude avec un vrai style et ce texte confirme mes impressions. Et je suis d’autant plus agréablement surpris que tu parviens après le récit contemplatif de tes précédents textes, à explorer de façon toute aussi entière et authentique la tristesse et la noirceur du quotidien dans celui-ci. Et il y a toujours une part d’illusion entre deux mondes qui se superposent, entre celui du réel et celui de l’absence, une schizophrénie comme pour échapper à la détresse de quotidiens implacables. Bravo et merci.
Lu, il y a belle lurette, un forgeron doué en textes, histoires courtes, haletantes, suspens indescriptible , suspens indéchiffrable et un auteur phare for me
Etant un enfant sans pouvoir, flirtant au-delà des 50 rougissant, je plussoie votre narration sur la clé du destin : elle est en effet dans leurs mains ✋️
Juste petit bémol, dans mon sens l'inverse est inimaginable
Résultat : vous prêchez un convaincu
Pas grand chose à ajouter au commentaire de Léo. Ce texte est effectivement très réussi. Je vais reprendre mon costume de typographe, j'ai trouvé la lecture un peu difficile. On a en particulier du mal à s'y retrouver dans le grand paragraphe, on a peur de s'y perdre. Mais ce n'est qu'une remarque de forme.
Bonjour et bienvenue Loscrivo. et merci d’avoir participer. C’est presque impeccable si on remplace « diffuse » qui. contient 2 F par un autre mot qui n’en contient aucun. Seul et silencieux, à l’épreuve des autres et d’une forme d’oppression, c’est touchant.
Tant de mots encore à inventer pour nommer ce qui est en suspens, ou pour créer toujours plus de possibles, toujours plus de notes pour jouer la plus grandiose des symphonies. J’aime beaucoup la mise en page, et ce peut-être, tellement seul, que l’on en comprend davantage sa portée. Merci Archibald.
Bonsoir Stanislas, pour une fois c’est l’humain qui est placé au coeur de l’histoire et on le suit geste après geste, c’est très réussi et j’ai déjà pris mon ticket pour lire la suite.
Cette rue de la sardine grouille de vie. Elle a cette universalité que l'on espère ne jamais perdre malgré les efforts d'uniformisation. Ce livre tel que tu nous le décris nous donne envie de l'arpenter, juste pour se dire que la virtualité n'a pas encore tout avalé.
Merci beaucoup. Vers court ou long, il y a toujours un risque. Écrire un poème entier avec des vers longs sans se perdre-perdre le rythme, l'attention et la tension-me semble, si ce n'est impossible, en tout cas périlleux. Contrairement aux vers courts qui conviennent, je crois, à mon style qui se veut percutant, déroutant et taquin. Il se rapproche effectivement parfois du slam que je laisserai aux jeunes mais je suis touché par ton compliment. Certains de mes poèmes paraîtront bizarrement construits voire déconstruits. C'est exactement l'effet souhaité: adepte des contre-allées je ne cours pas après la rime parfaite, plutôt une façon de dire qui cherchera souvent (mais pas coûte que coûte) à s'extraire du lieu commun dont il faut, je pense, se méfier. Bien à toi.
J’ai eu du mal à entrer dans ton texte jusqu’à « d’abord, il y aura les autres », probablement parce que le début porte sur des généralités presque banales et que lorsque tu entre et plonge à plume jointe dans l’humain et que tu fais vibrer tout ce qu’il y a à l’intérieur de l’être alors là, c’est vraiment très efficace. Et d’avoir cité Brel ne m’étonne pas, il y a une énorme sensibilité et puissance dans ton écriture, transformant le plomb des failles en lettres d’or.
Bonjour Enzo, j’aime beaucoup ta singularité et ton style, et je trouve que ce texte est particulièrement abouti. De nombreux jeux de mots qui tombent justes, très travaillés et de belles sonorités et rythme et je me dis que tu excellerais dans l’exercice du slam. J’ai énormément aimé « le ministère de l’antérieur », le « dépôt de crainte », « François, Vincent, Paul et les autres bâtards de l’histoire. Bien joué.
Bonjour,
Un texte - et un écrit, d'une manière générale - n'a de valeur qu'à travers ses lecteurs et leur décryptage. C'est donc votre droit de le lire comme bon vous semble. Mais de vouloir y poser vos désirs personnels, c'est un peu moins possible. Il semblerait qu'il y ait eu une vraie rencontre entre les deux interlocutrices, que le narrateur - qui s'efface - a le souci de ne pas trop exposer Soeur Io. - dont le prénom est abrégé ici. Par conséquent, il n'y rien de mythologique dans cet écrit. Cela aurait pu l'être, mais ce n'était pas l'objectif de l'auteur. Là où vous voyez superficialité, il y aurait peut-être une authenticité qui se passe d'ornements et de fioritures. Peut-être. Merci de votre commentaire.
🍀
Merci beaucoup Archibald. Pour la typo, vous avez raison. Pour une raison que j'ignore, lorsque j'importe ici mes textes, ils sont estropiés. Je dois m'y prendre comme un manche sur Word, j'imagine. Je ne manquerai pas d'aller voir vos textes asap. ;-)
Bonjour. Je parlerai typographie. Les alinéas sont posé d'une façon qui semble aléatoire, certains paragraphes en ont, d'autres pas. On se demande si cela veut dire quelque chose ou pas. De plus, je les trouve un peu grands.
Pour ce qui est du contenu, d'après ce que je comprends, c'est une partie d'un tout que je n'ai pas lu. Le manque de contexte est donc normal.
Je me suis permis quelques annotations.