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Textes
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Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
La Vie
Publié le 14/03/2025
J'aime beaucoup: à la fois épuré sur la forme et signifiant sur le fond. Amitiés.
Solidarité vs Haine
Publié le 14/03/2025
Oh, oh oh! Léo, avec de tels textes, je crois qu'on va devenir très copains!!! Amitiés.
Paradoxe
Publié le 14/03/2025
Merci Léo, avec un tel message d'accueil je crois que je vais me plaire, ici! Amitiés.
Paradoxe
Publié le 14/03/2025
Bienvenue Laurent, effectivement à l’heure de toutes les tensions et exacerbations le peuple des mots se veut être un endroit paisible et de partage à travers l’expression de chacun. Les mots sont aussi l’identité de chacun dans sa très large diversité et c’est tant mieux. Bienvenue et merci à cette amie de t’avoir recommandé ce site : les amis de les amies sont mes amis dis t-on. A plus tard.
Murmure
Publié le 14/03/2025
Un très beau texte que j'imagine très bien en triptyque: les murs, les portes, les ponts... Amitiés.
En construction
Publié le 14/03/2025
Vous prêchez un converti!
Cette guerre
Publié le 14/03/2025
Ce texte me frappe pour son universalité, merci Sophiak. Vous savez combien j'aime à unifier les concepts, aussi me semble-t-il que la guerre est l'aspect public du chemin. Amitiés.
Aujourd'hui, je suis éteint
Publié le 13/03/2025
Merci Sam du partage. J’aime bien cette idée que l’on puisse tonner. Plus que la nature des hommes, c’est son interaction avec les autres que ce patient semble maudire, habité par la certitude qu’il leur est supérieur dans son analyse à leur égard. Vivre dehors, c’est vovre zvec les autres, quand bien même ces autres sont décevants ou détestables. parviendra t-il à mieux les comprendre pour mieux leur pardonner et consentir à partager de nouveau cet espace délicat qu’est la société ? A suivre. Merci Sam, plein de choses intéressantes !
Barque royale
Publié le 13/03/2025
Que ce soit la lumière, les astres et ou les cieux ; tous aussi vastes, insaisissables soient-ils, ne semblent être en pouvoir de garantir la toute puissance de leur règne. Tout est interdépendant et tout ne tient en équilibre qu’à travers les situations sui surviennent et la part d’adversité qu’elles revêtent. Beaucoup d’humilité à la lecture de ton poème Francis Etienne, je t’en remercie.
Onirique parole
Publié le 13/03/2025
Un poème suspendu, en alerte, où l’on sent bien que tout peut basculer d’un instant à l’autre. On perçoit le drame tapi dans l’ombre de l’avenir. L’occasion de saluer une nouvelle fois ton grand talent à faire naître des ambiances fortes à travers l’évocation d’images fortes. Merci Francis Etienne.
Une fin marque toujours un début
Publié le 12/03/2025
Belle sensibilité et regard sans aménité sur les fins de vie. Texte fort, texte ontologique. J'aime. Merci
Cette guerre
Publié le 10/03/2025
Merci à toi Léo. Belle journée !
Féminaire
Publié le 09/03/2025
Oui. J'avais ce texte en magasin. Pour un 8/3, ça s'imposait. La bataille est rude. Mais il ne s'agit ni de de vainqueurs ni de perdants. Merci pour ton passage.
Source du sang
Publié le 09/03/2025
la beauté des lettres (et plus spécifiquement la poésie) est un antidote à la médiocrité et lorsqu’elle coulent dans les veines du poète, elle confine à l’éternelle soif de poursuivre. Chaque jour fait de mots sincères et profonds, est un jour de sauvé.
Paysage de l'ombre
Publié le 09/03/2025
Bonsoir Francis Etienne, c’est bien le jeu d’échec que j’avais en tête et c’est une autre de tes images qui m’a inspiré dans cette vision, celle de l’arlequin. Et j’apprécie de nouveau grandement ce que ces nouvelles visions ont pu déclenché à nouveau, c’est fantastique et bienheureux.
Une fin marque toujours un début
Publié le 09/03/2025
Bonsoir Evelyne et merci pour ton texte si sensible et intime, douloureux car encore récent. Tu y décrit si bien les solitudes et tous les enjeux de la vieillesse et les parades mises en oeuvre pour ne pas dépérir, ou plus justement ne pas dépérir trop vite. Avoir des visites est un but et en conséquence une force renouvelée qui aide à affronter les nouvelles semaines qui se succèdent sachant bien que l’une d’entre elle sera comme tu le dis de façon implacable à la fin de ton texte, la dernière. Emu je suis, merci Evelyne.
Danielaubordeleau
Publié le 09/03/2025
Voici donc l’explication qui mériterait de participer à un atelier d’écriture passé, parmi les premiers qui s’appelait « Moi par un autre ». Ce sont de belles rencontres celles qui permettent de bâtir des ponts communs par le dépassement de soi et du seuil de l’incompréhension. Merci Daniel pour ce beau témoignage.
Cette guerre
Publié le 09/03/2025
Merci Sophiak pour cette réflexion que je partage et pour toutes ces références subtilement sélectionnés et que j’affectionne également. Beaucoup d’humanité dans les propos. Et il en faut du courage pour surmonter toutes les épreuves qui pavent une existence. Ce qui me ramène à une citation de Stefan Sweig partagée sur les réseaux sociaux du peuple des mots «  J’ai personnellement plus de plaisir à à comprendre les hommes qu’à les juger. »… à plus tard.
Paradisiaque absence
Publié le 09/03/2025
Ce poème est profond car il questionne et sonde simultanément l’âme et le coeur sur sa faculté à comprendre le soi et tout ce qui l’environne, et qui constitue sa condition humaine. Une vie de fragilité et de doutes qui ébranle les hommes jusqu’à leur dernier jour. Méditer est un bienfait qui mène à la sagesse. Merci Francis Etienne.
Féminaire
Publié le 09/03/2025
Un très bel hommage aux femmes à la fois héroïques et inspirantes, courageuses aussi, et à bien des égards. A plus tard Enzo.
Cette guerre
Publié le 09/03/2025
Transcendance oui c'est cela, merci, je le rajoute dans les mots clef !
Cette guerre
Publié le 09/03/2025
Merci d'avoir le courage d'exposer un thème auquel tout le monde est confronté. Le cheminement de chacun passe par des entraves plus ou moins surmontables et ce qui compte est de toujours trouver la clef. J'éluderais les termes ''d'avancée'', de ''progression'' ou de ''résilience'' et parlerais plutôt de transcendance . Mais à l'arrivée c'est la même fin: s'en sortir.
Féminaire
Publié le 08/03/2025
Encore un siècle ou deux pour atteindre la parité. Puis s'ensuivront un siècle ou deux de domination féminine. Et après ça il y aura peut être un équilibre. Si les humains sont encore là. Une chose est sûre. Nous n'y serons pas.
Féminaire
Publié le 08/03/2025
Le 8 mars ne suffit pas mais merci pour cet hommage cher ami.
Source du sang
Publié le 08/03/2025
Cher Léo, merci encore une fois pour ton commentaire qui aboutit magnifiquement à ce Carpe Diem » dans la suave insouciance de nos esprits, depuis toujours, et si parfois nous nous laissons aller à un instant d'ivresse et de jouissance, nous ne quittons jamais notre progression dans le temps, qui coule dans nos doigts, sans jamais nous laisser un répit, une pause, un silence, une absence de pensée, et cette extrême jouissance de notre vie. Là encore la poésie est un instant d'oubli puissant pour illustrer quelques détails de l'illusion de vivre. Parfois nous cheminons dans des rêves, rarement des espoirs, presque jamais dans l'absolu contemplation de la richesse de nos vies. Alors souvent nous nous drapons dans le regard des autres, nous les pensons admiratifs, nous les savons un peu jaloux, nous les voulons ignorants, nous les croyons sans profondeur. Or la poésie est bien ce travail permanent, fastidieux, éreintant, qui creuse précisément la richesse de nos vies, celle qui n'habille pas nos jours de ce papier de riz que la première pluie va ruiner. Ce poème que tu as si bien ressenti est l'expression de cette réalité. Mais qui en saisira, comme toi, aujourd'hui, la trame profonde ? Le monde de la consommation des images toutes fabriquées, le monde de la pensée en forme de « kit », le monde de la jouissance allumette, le monde de l'absolue distraction sera-t-il sensible à cette version complexe de la poésie ? J'ai peu d'espoir et pourtant je sais que j'ai raison de continuer, car cette voie à contre-courant que j'ai prise et celle qu'ont prise bien des poètes, petits ou grands, qu'ils soient Rimbaud ou Verlaine, Ronsard ou Du Bellay, Proust ou Madame de Stael. La poésie est un art qui se travaille comme une toile de Rembrandt, point par point, et qui s'écrit comme une épreuve du Concours Général, avec rigueur. On ne bluffe pas en poésie. Merci Léo pour m'avoir donné l'occasion de cette réfection autour de ton magnifique commentaire et à bientôt ou à tout de suite. Cordialement, Francis Étienne. Le bilboquet d'ivoire où scintille une flamme Est un jeu d'empereur et d'un fou qui rend l'âme.
Paysage de l'ombre
Publié le 08/03/2025
Cher Léo, dès tes premiers mots, j'ai envie de voguer sur cette magnifique image : «un joli damier de couleurs » et sur la métaphore que tu files en filigrane celle du jeu d'échecs. C'est une magnifique idée qui me fait fourmiller au bout des doigts des milliers de nouvelles images, comme si ton commentaire avait ouvert une nouvelle porte en moi, et « avec les bottes de sept lieues. » Je franchis déjà un monde dans lequel les relations se jouent sur un damier, les amours sur des couleurs, blanc ou noir, le luxe dans le bois de l'échiquier et le parfum des joueurs. Sept lieux d'avance c'est aussi la puissance du joueur d'échecs. Je pense en particulier à celui de Stéphane Zweig, sur son paquebot, cette merveilleuse nouvelle dont l'intelligence brille à chaque ligne comme une fusée d'artifice. Ce « damier de couleurs » me plonge dans des relations humaines très dangereuses ( les très celebres "liaisons dangereuses") , issu du calcul, de la victoire ou de l'échec, de la puissance, de la suave perversion et de l'humble soumission. Sans ouvrir les boîtes de mon passé, je peux te confesser que je fais l'expérience de cette relation humaine sur le fil du rasoir. Le monde contient des êtres profondément intelligents et inexorablement cruels. On les voit quelquefois apparaître dans des affaires sordides, mais rarement, car les bons joueurs partent tous avec un enterrement de première classe. C'est alors que la poésie devient l'outil de l'expression de l'inexprimable, qu'il soit au-delà de la beauté ou au-delà de la laideur. La poésie est une ombre que l'on peut toucher, une rivière qui traverse la nuit, un pont suspendu au-dessus des rêves, et ce « joli damier de couleurs », la poésie comme la prière nous rapproche de Dieu et nous guérit du Diable; merci beaucoup encore une fois, Léo, de tant de magnifique visions à travers mes textes. Cordialement et a tout de suite. En déchirant les mots comme des confettis L'ogre enferme le temps dans de brefs libretti.