Ecrit à l’occasion de l’atelier d’écriture « Le 7ème jour », Mich livre un texte sensible et authentique d’une traite avec énormément de réussite le récit cathartique par excellence. Même si ce texte pourrait être étoffé, cette première publication est impressionnante de qualité dans les conditions dans lesquels le texte a été écrit, en moins de 7 jours. Chapeau.
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De la souffrance intérieure, du silence, de la candeur et tellement de délicatesse. De l'honnêteté aussi.
J'aime ce personnage.
Dormir sous un velux, regarder la pluie et lui parler.
Merci du partage.
Bonjour Léo,
Merci infiniment pour ton commentaire. Il me touche beaucoup.
J’ai écrit ce texte avec sincérité, sans trop réfléchir, un peu comme on ouvre une fenêtre pour laisser entrer l’air.
Savoir qu’il a trouvé un écho chez toi me donne envie de continuer à écrire et à partager.
J’ai commencé la suite et, comme je te l’ai dit, j’ai trouvé un éditeur. Alors oui, j’ai encore beaucoup de travail pour raconter cette vie, qui est peut-être une vie comme nulle autre… ou peut-être pas. Je ne sais pas.
Mon éditeur m’a confié : « Je n’ai jamais lu une histoire comme ça ! Je ne pensais pas qu’une telle vie pouvait exister. »
Disons que certaines choses nous tombent dessus, et nous réalisons seulement après.
Même moi, je pensais que ma vie était assez banale…
Encore merci pour ton regard bienveillant.
Mich
Léo, je voudrais ajouter quelque chose : j’ai la certitude que ma vie n’a jamais été laissée au hasard. J’ai eu trop d’expériences étranges pour croire à la coïncidence.
J’ai l’impression qu’on me guide, qu’on veut me demander pardon pour les souffrances vécues en me plaçant sur ces chemins-là, vers les bonnes personnes, vers l’écriture, vers le Peuple des mots.
Et même ma rencontre avec mon probable éditeur en est la preuve : je devais croiser sa route. C’était écrit.
J’ai sentiment profond sur ceci. Une évidence. C’est indéfinissable.