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Un amour qui n'existe que dans nos coeurs
Publié le 19/08/2025
Tes commentaires me donnent à réfléchir. Merci Léo. Je saisis certaines choses que je ne voyais pas.
Papa
Publié le 19/08/2025
Un bien bel hommage à ce guide, ce pilote ce sherpa avec tes mots qui sonnent toujours justes et savent toucher les cordes sensibles. Tu es un raconteur d’histoires et un transmetteur d’émotions incomparable. je n’y verrais qu’une modification à y apporter de mon point de vue « "On avance tous les jours, on ne recule pas.", qui est une forme de pléonasme. Merci pour ces belles notes qui consacrent ma première heure de réveil. A plus tard Perthro.
Un amour qui n'existe que dans nos coeurs
Publié le 19/08/2025
Ce texte correspond également au commentaire sue je biens de te laisser précédemment dans « Tu me diras les rêves ». Ce tiers, réel, fictif ou idéalisé complexifie dans la nature du partage peu évident la compréhension des textes où s’entremêlent également souvent les rêves. Les mots sont saisissants dans un contexte trouble, ils deviennent pareil à un phare, un ultime rempart pour éviter le naufrage.
Tu me diras les rêves
Publié le 19/08/2025
De nouveau un texte intense en émotions partagées. J’allais dire introspectif mais je m’aperçois qu’il y a comme dans d’autres textes la présence d’un tiers qui semble avoir une place importante dans les sentiments vécus ou imaginés. La puissance d’un nous qui se confond et qui semble lié du même destin.
A mes ratures sur le cahier des rêves
Publié le 18/08/2025
Ce texte évoque toute une vie riche, ou il se passe tellement de choses qu'il est impossible de s'ennuyer. Une vie, qui plus est, intérieure que les autres ne voient pas hormis le cahier sur lequel elle est consignée. Le titre, très poétique, m'a attiré vers votre production dont j'apprécie la poésie. Au plaisir de vous lire encore Ioscrivo.
Un aller sans retour (3)
Publié le 18/08/2025
Bonjour Léo, On va en savoir plus dans le prochain (peut-être les deux prochains) "épisodes(s)". Merci et bonne journée Léo
A mes ratures sur le cahier des rêves
Publié le 18/08/2025
Ton texte est un tourbillon de vives expériences, pas toujours heureuses mais qui ouvrent les portes de l’introspection pour mieux comprendre et mieux avancer. J’ai trouvé les ratures sur le cahier des rêves et tes dernières lignes très poétiques et émouvantes. À plus tard loscrivo.
Un aller sans retour (3)
Publié le 18/08/2025
Bonjour Marie-Noëlle, j’attendais la suite avec impatience et je ne le regrette pas car cette suite offre de nouveaux éléments qui nous plongent totalement dans l’intrigue avec l’envie de comprendre cette disparition et ce qui l’a motivée. Ce qui m’étonne juste c’est que rien n’a été demandé à la mère et au frère qui seraient quand même les mieux placés pour obtenir des informations. À fond embarqué dans l’histoire, vivement la suite !
Source de sang
Publié le 18/08/2025
Ton dramatique poème est encadré par deux vers, le premier et le dernier, qui évoquent l’effacement… de même que l’enchanteur qui par les mots et autres manigances travestit les réalités et destinées. Sans compter le supplice et la douleur physique infligée par les épines qui m’ont d’ailleurs fait penser à la couronne du christ. Le titre enfin rappelle que tout a une origine, de la nécessité de l’identifier pour mieux s’en prémunir. La poésie sait aussi être une vigie emprunt de prévenance et de sagesse. À plus tard Francis-Etienne.
Le crâne d'Abel
Publié le 17/08/2025
Beaucoup de ce texte me parle, sans doute à travers la relation avec le père. C’est toujours émouvant de croiser des vies qui ressemblent un peu aux nôtres, puis de voir comment elles bifurquent après l’enfance. L’enfance reste le principal atout pour franchir le passage vers l’âge adulte. Pourtant, nous y arrivons souvent si peu préparés… De la solitude dans l’enfance, on glisse vers la solitude de l’adulte. Merci
Petite Zoé
Publié le 17/08/2025
Bonjour Lucie R, merci beaucoup pour ce commentaire! Décidément, cette œnochoé est enveloppée de mystère si je comprends bien... Alors, j'en suis ravi!
Paletot de mendiant
Publié le 17/08/2025
Cher Léo et cher ami, c’est avec un immense plaisir que j’ai lu ton commentaire car, en quelques mots, il expose l’essentiel du texte en en extrayant les mots pivots. Merci encore de tout mon cœur. Oui la richesse sied bien dans les yeux et le cœur du lecteur à qui je propose ligne après ligne le foisonnement des images, des sons et des visions, comme une explosion de lumière, de sons et d’éclairs. Lire un texte poétique demande à son lecteur de quitter son monde rationnel et intellectuel pour se laisser happer par le bruit ou le silence des mots en marche vers l’envers de la parole, inaccessible sans le pouvoir de la poésie. La beauté est un privilège dont la puissance absorbe l’univers entier. Celui qui ne voit dans le monde que la pâle couleur de la réalité ne peut pas encore toucher à la poésie. Mais celui qui, comme un constant pèlerin, chemine vers sa propre lumière, touche à l’éternité, comme on touche la soie ou le velours, avec cette magnifique sensation de joie, de luxe et de plaisir. Rimbaud écrivit : Elle est retrouvée. Quoi ? – L’Eternité. C’est la mer allée Avec le soleil. Quel précieux témoignage de la beauté ! Meri Léo, et à plus tard. Par le feu d’artifice aux couleurs de la mer Le poète a forgé sa vision de l’enfer.
Soif de silence
Publié le 17/08/2025
Mon cher ami Léo, par ce commentaire encore si juste, tu as su lire dans ces vers la dualité qui habite ma façon d’écrire et de décrire. Merci encore de tout cœur. La complexité de la parole, dont la seule chair est le mot, nous offre sa lumière et, comme pour l’univers dans sa création, nous oblige à mesurer notre impuissance à expliquer sa nature. Mais, mis à notre disposition par on ne sait quel miracle ou privilège, elle nous laisse la joie de jouer au créateur. Le mot est la plus petite unité de création dont nous disposons pour échanger et faire, à notre tour, jaillir la beauté à travers lui. Je suis fondamentalement convaincu que la poésie est un art divin donné aux hommes pour accepter d’être dépassés par leur propre pauvreté. On n’écrit pas pour dire mais on compose un texte comme une sorte de prière. D’ailleurs bien des rituels religieux utilisent la puissance de la poésie pour transcender notre humanité par l’appel du beau, et conséquemment du vrai. David, auteur de psaumes a guidé tout un peuple, jusqu’à aujourd’hui, par la poésie. Merci, Léo de répondre toujours avec autant de délicatesse à mes publications. A plus tard. Francis-Etienne. Des rubans de soleil brodés de céramique Dansent dans un ciel d’or au cœur cataclysmique.
Toiles anciennes
Publié le 17/08/2025
Mon cher Léo, c’est aussi un immense plaisir de pouvoir publier à nouveau sur Le peuple des mots, et crois-moi, cela m'a beaucoup manqué pendant les mois d'hospitalisation que je viens de traverser. Merci pour ton soutien et pour ta présence, presque invisible, qui m’ont aidé à ne pas renoncer à l’écriture. Ton analyse comme d’habitude est très juste et très pertinente. Je partage l’idée que l’amour qui « quémande » est à la racine même de la destruction, par le désir, d’un lien de paix et de sérénité, que bien des peintres hollandais ont représenté dans la béatitude idéale et statique du confort amoureux. La béatitude n’est pas un état humain à cause de l’aiguillon de l’envie et de l’incontrôlable pulsion de possession. Il n’y a pas d’amour sans souffrance (c’est aussi le fil rouge de Proust). Alors il reste le refuge des livres qui, s’ouvrant à des mondes intérieurs, nous permettent de nous protéger de la douleur, du désespoir et de l’anéantissement de nos plus riches facultés. Merci encore Léo pour avoir aussitôt renouer notre dialogue sous mes quelques vers. A plus tard. Francis-Etienne. Par un trait de crayon le vent foule le temps Au pied de la montagne où s’ébroue un étang.
Histoire de ma 203 Peugeot
Publié le 17/08/2025
Merci Léo, Mon éditeur veut publier une story sur cette 203. Un petit livre à deux car il a aussi de bons souvenirs avec cette voiture
Une vie comme beaucoup d’autres, peut-être…
Publié le 17/08/2025
Léo, je voudrais ajouter quelque chose : j’ai la certitude que ma vie n’a jamais été laissée au hasard. J’ai eu trop d’expériences étranges pour croire à la coïncidence. J’ai l’impression qu’on me guide, qu’on veut me demander pardon pour les souffrances vécues en me plaçant sur ces chemins-là, vers les bonnes personnes, vers l’écriture, vers le Peuple des mots. Et même ma rencontre avec mon probable éditeur en est la preuve : je devais croiser sa route. C’était écrit. J’ai ce sentiment profond sur ceci. Une évidence. C’est indéfinissable.
Histoire de ma 203 Peugeot
Publié le 17/08/2025
La 203, ce trait d’union entre la vie et les plus beaux souvenirs…. j’ai bien souri la nécessité de rééquilibrer la couleur :-)
Histoire de ma 203 Peugeot
Publié le 17/08/2025
Du bidouillage que seules les anciens modèles permettaient, impensable sur les modèles actuels…
Histoire de ma 203 Peugeot
Publié le 17/08/2025
On sent la passion dans la description du bolide présenté sous ses nobles lignes…
Une vie comme beaucoup d’autres, peut-être…
Publié le 17/08/2025
Bonjour Léo, Merci infiniment pour ton commentaire. Il me touche beaucoup. J’ai écrit ce texte avec sincérité, sans trop réfléchir, un peu comme on ouvre une fenêtre pour laisser entrer l’air. Savoir qu’il a trouvé un écho chez toi me donne envie de continuer à écrire et à partager. J’ai commencé la suite et, comme je te l’ai dit, j’ai trouvé un éditeur. Alors oui, j’ai encore beaucoup de travail pour raconter cette vie, qui est peut-être une vie comme nulle autre… ou peut-être pas. Je ne sais pas. Mon éditeur m’a confié : « Je n’ai jamais lu une histoire comme ça ! Je ne pensais pas qu’une telle vie pouvait exister. » Disons que certaines choses nous tombent dessus, et nous réalisons seulement après. Même moi, je pensais que ma vie était assez banale… Encore merci pour ton regard bienveillant. Mich
Le Gardien
Publié le 17/08/2025
Bonjour Ajra et vraiment bravo. C’est très bien écrit et impeccable. La narration évolue comme dans un voile, dans de la ouate, le sentiment de ralenti laisse penser à la médication, le style au service de l’écriture et du propos. Une belle réussite.
Notre chambre, notre mini-Terre, notre Terre nourricière
Publié le 17/08/2025
Merci Allegoria Je pense que nous n’avons pas tous la capacité de comprendre ce qui nous dépasse : l’espace, les grandes distances (années-lumière, etc.), et le fait que nous ne sommes qu’un minuscule point dans notre galaxie, la Voie lactée. Mon conjoint, lui, n’y arrive pas. Pour ma part, je peux voir comment tout fonctionne, au moins dans notre système solaire, et cela ne me donne pas le vertige. Je comprends simplement parce que je me suis intéressé très jeune à l’astronomie. Le processus est le même dans un lieu confiné (une chambre) ou dans l’immensité toute relative de notre atmosphère. Il y a un plafond où tout reste attaché à l’attraction terrestre. Ces 100 km qui nous séparent de l’apesanteur ne peuvent être franchis sans propulsion ; la chaleur, la pollution, etc., restent donc piégées dans l’atmosphère terrestre. C’est le début de l’effet Vénus. Évidemment, cela prendra du temps, et nous ne serons peut-être — ou certainement — plus là pour voir les dégâts. Mais nous avons fait tellement de mal à notre maison que, même balayée de l’humanité, la Terre mettra des milliers d’années à s’en remettre. (Les centrales nucléaires, par exemple, ont besoin de l’homme pour être surveillées ; leur abandon entraînerait inévitablement des catastrophes que nous aurons causées.) Merci
Un beau travail d'équipe
Publié le 17/08/2025
Bonjour et bienvenue Baba. Bravo pour votre premier texte partagé, à l’intrigue intéressante et bien menée. C’est malin d’être parti de la personne qui ressemble à quelqu’un que l’on a déjà croisé pour revenir en arrière. On sent un vrai plaisir à raconter des histoires, c’est vraiment chouette. A plus tard.
L’Éveil de Luminara
Publié le 17/08/2025
Deux énormes motifs de satisfaction pour moi ; te retrouver en mots et lire un texte qui fait vraiment du bien tant il parvient à créer des images et un sentiment de bien-être absolu. L’harmonie et la joie de vivre, alimenté par le respect et la bienveillance. Cela fait un bien fou, alors merci de revenir, et de m’avoir gratifié d’une si douce lecture.
Petite Zoé
Publié le 16/08/2025
Quelle joie d'entendre la mélodie envoûtante de votre poésie ! Je découvre aussi des mots que je ne connaissais pas, de quoi apprendre. On a envie de vivre, d'aller plus loin, de profiter de chaque instant avec ce poème. Merci Perthro !
Geste inattendu
Publié le 16/08/2025
Merci Ioscrivo, pour ces deux êtres connectés et ce geste inattendu, magie des émotions que la poésie retranscrit si bien.
Geste inattendu
Publié le 16/08/2025
J'aime beaucoup la mise en page qui sied bien au poème. Deux êtres connectés par une éblouissante douceur, un tendre tumulte.
Et Dieu créa la Terre
Publié le 16/08/2025
Merci beaucoup allegoria je suis très touchée par ton commentaire