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Le Peintre étincelant
Publié le 25/03/2025
Bonsoir Lucie, cela semble être corrigé. J’ai juste trouvé de mon point de vue que c’était vraiment écrit petit (faut dire que j’ai une mauvaise vue. A plus tard.
Le Peintre étincelant
Publié le 25/03/2025
Merci cher Léo ! Retrouver la chaleur du soleil fait du bien au moral effectivement. La seule chose qui me froisse un peu c'est d'avoir eu ce petit souci dans l'alignement de mes vers. J'espère trouver un remède au plus vite.
Anniversaire d’une défunte
Publié le 24/03/2025
Tout l’art du sonnet et plus encore celui d’élever les âmes, voire de les transcender. On perçoit une force supérieure, bien plus grande que la portée des mots, qui préside à la nature et aux destin des humains. L’art de faire jaillir la lumière au confins de l’obscurité, l’expansion du domaine poétique comme la promesse d'un nouvel eden. Merci Francis Etienne.
Le Peintre étincelant
Publié le 24/03/2025
Tes doux et chaleureux mots font écho aux rayons de soleils recouvrés la semaine dernière. Qu’il est bon de les retrouver après un long et harassant hiver. Les vers de ton poème sont pareils à ses rayons qui s’emparent des lieux comme tes mots s’emparent de l’âme et du bien-être communicatif. Un poème qui fait du bien dont la posologie devrait être matin, midi et soir. Merci Lucie pour cet instant de plénitude.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 24/03/2025
Bien vrai, merci de m’avoir lu et commenté Enzo.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 24/03/2025
Indubitablement, l'apocalypse, contrairement aux scénarios des vieux livres prophétiques, surviendra via le portable, qui fait déjà bon nombre de victimes. Bien vu.
Anathème d’Athènes
Publié le 24/03/2025
Cher Léo, merci pour ce commentaire et ton émerveillement à voyager à travers mes mots. Oui Salamine est une rade du Péloponnèse, dans laquelle j'ai mouillé à bord d'un yacht sur lequel je travaillais. Lorsqu'on traverse la Grèce, et en particulier les Cyclades, chaque port, chaque crique, chaque plage est chargé de l'histoire et de la mythologie. J'y ai retrouvé devant moi les noms de ces lieux, qui ponctuaient les versions grecques de mon enfance. C'est toujours un émerveillement de se retrouver face a ces lieux la, parce qu'ils ont pris racine en toi depuis des années. Et Salamine est un des endroits où l'histoire grecque pour ne pas dire l'histoire du monde a changé de cours. C'est ainsi que de Delos à Ithaque, on passe par Salamine, Corinthe, ou Delphes. J'ai eu la chance de pouvoir visiter ces lieux sans aucun touriste, si j'ose dire, à huis clos. À Delphes dans la forêt de chênes, je me suis promené, et j'ai trouvé l'entrée des enfers, par où Orphée a pénétré le monde des morts. Bien entendu, ce sont les pages de Pindare, Thucydide ou d'Hérodote que je lisais sous mes pas. Les mots, en grec aussi, ont un pouvoir, celui de nous envoûter du mystère de la poésie. Peut-être que jouer avec des cailloux est plus important que de lire beaucoup de livres. Merci encore pour ce commentaire, mon cher Léo. Il réchauffe mon cœur et attise mon âme. À plus tard Léo, cordialement Francis Étienne. Le murmure du buis au bord de la colline Appelle les géants d'une langue câline.
Mandarines et mangues
Publié le 24/03/2025
Cher Léo, mille mercis pour ce magnifique commentaire et pour le témoignage de ton amitié. Il est extrêmement rare de rencontrer un esprit, comme le tien, qui puisse à la fois jouir de notre conversation et commenter avec autant de sincérité et de particularité les textes que je publie. C'est pour moi aussi une magnifique occasion de creuser dans mon âme et d'y puiser les quelques richesses dont j'aime combler notre dialogue. L'écriture est un exercice purement solitaire, alors que la réponse à tes commentaires est un échange qui enrichit tout mon travail. D'ailleurs je t'en remercie de tout cœur. À très bientôt Léo et merci encore
Longer la mer
Publié le 24/03/2025
Merci cher Léo 🍀
Mandarines et mangues
Publié le 24/03/2025
Même tes commentaires sont beaux et inspirants, et toujours riches de nombreuses références qui nourrissent l’âme, merci Francis Etienne.
Longer la mer
Publié le 23/03/2025
Je veux bien croire qu’à un moment les autres puissent devenir insurmontables, et c’est une belle façon de le dire d’ailleurs, à plus tard Sam.
Du bleu au marron
Publié le 23/03/2025
Mais tout le monde s'en fout de ce type et de ses idées. Par contre trop de monde se moque aussi de la montée de l'extrême droite, et ça, c'est idiot et dangereux. On en a la preuve en voyant les résultats des scrutins électoraux partout en Europe. Se mettre la tête dans le sac en disant "N'en parlons pas, ça passera" ne fonctionne pas. Mittérand a fait sauter la limite en autorisant le RN (afin de faire perdre des voix à la droite traditionnelle). Les médias s'y sont engouffrées. L'extrême droite et ses idées existent, que nous le voulions ou nous, que nous en parlions ou non. Lorsqu'un ministre déclare qu'il y a des otages israéliens et des prisonniers palestiniens, il ouvre en grand l'autoroute de l'islamophobie. Ne pas relever ce genre de détail, n'est rien moins que de la non assistance à démocratie en danger. Je publierai à ce sujet l'excellente lettre de Cavanna.
Du bleu au marron
Publié le 23/03/2025
Je m’en fous de ce type et de ses idées pourries et c’est cela le devoir et le civisme le plus élémentaire qui s’impose à mes yeux, s’en foutre et surtout en aucun cas participer à propager les flammes de la haine et de la colère. C’est toi qui lui donne de l’importance, et si je te lis bien tu ne devrais pas :-)
Du bleu au marron
Publié le 23/03/2025
Mais, ce n'est pas le sujet de mon texte. Ce que je dénonce ici, c'est la cannibalisation d'un parti fréquentable par Mr Bouchez et par les idées d'extrême droite et leur électoralisme, une extrême droite rampante ayant parasité une structure puissante. En outre, les 15 pays dont tu parles ont-ils suspendus leurs relations diplomatiques avec Israël ? J'en doute. Prétendre se joindre - dans un futur indéterminé mais vraisemblablement jamais en ce qui concerne mon pays - à une plainte qui n'a aucune chance d'aboutir aura autant d'effet que de joindre les mains en demandant au bon dieu de punir les méchants. Ce n'est qu'un effet d'annonce, une manière pour les gouvernements de sauver la face devant leurs électeurs. Je pense que la plupart d'entre nous pensent vivre dans des démocraties, alors que ce n'est plus le cas. Dénoncer cette situation à travers une analyse soigneuse est non seulement utile, c'est un devoir, c'est le civisme le plus élémentaire.
Du bleu au marron
Publié le 23/03/2025
Je trouve inutile de rapporter les paroles des provocateurs quels qu’ils soient, car la seule chose qu’ils cherchent c’est l’exposition et si on les relaie combien même pour marquer sa désapprobation, ils ont ce qu’ils veulent et cherchent : une nouvelle audience. Quinze pays ont annoncé leur intention de se joindre à la plainte de l’Afrique du Sud, qui accuse Israël de « génocide » dans la bande de Gaza, devant la Cour internationale de Justice, dont la Belgique d’ailleurs. Cela a plus de poids que ce pauvre type que je ne connaissais même pas avant que tu en parles.
Anathème d’Athènes
Publié le 23/03/2025
Une invitation au voyage efficace puisque je viens de découvrir Salamine, mais aussi une immersion dans le tumulte qui semble se préparer, avec le doute et la quête de sens pour terreau. J’ai en tête l’expression et association balsacienne « grandeur et décadence » qui m’est venu à l’esprit après lecture de ton poème. Un sensible et émouvant vent de nostalgie semble avoir soufflé dans ta belle et sensible créativité. A plus tard Francis Etienne.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 23/03/2025
Bonjour Patrice, oui je me suis bien amusé, d’autant plus que cela faisait un moment que je n’avais plus écrit, j’ai dû perdre de mon identité stylistique. Merci pour ton annotation que j’ai prise en compte. A plus tard.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 23/03/2025
Tu nous fais basculer d'un thème à l'autre, de la quotidienne culpabilité à la science-fiction façon blockbuster. C'est amusant. Je ne sais pas pourquoi, ce texte m'en rappelle un autre de toi où il y avait une file à la caisse d'un super-marché. C'est sûr que je n'aurais pas développé l'idée initiale comme tu l'as fait. Avec le temps, notre style s'installe et devient très reconnaissable.
Longer la mer
Publié le 22/03/2025
Merci cher Léo. L'humain est en effet très complexe et très fragile, même au coeur de la violence. Peut-être y a-t-il un temps où les autres deviennent insurmontables ? Peut-être que l'exiguïté de soi est un repaire ? Peut être qu'à un moment, il y a une telle confusion, une telle précipitation du temps, que le choix de vivre en marge s'impose ? Amitiés, Sam 🍀
Ce jour où tout a basculé
Publié le 22/03/2025
Merci Evelyne, je ne pensais pas écrire un jour dans le registre de la science-fiction mais les auteurs doivent apprendre à ne jamais dire jamais.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 22/03/2025
Merci infiniment pour votre lecture et vos retours toujours riches et précis et je vous rejoins concernant 1984, la réalité a dépassé la fiction, très largement, et s’en est effarant. A plus tard Lucie.
Mandarines et mangues
Publié le 22/03/2025
Cher Léo, de tout cœur je te remercie pour ces quelques lignes de commentaires. « Le souffle poétique » part des mêmes racines que la peur. C'est ce qui fait les grands interprètes : Alfred Brendel, Maria Callas, Pablo Casals. Ce souffle poétique c'est d'abord avant d'écrire. On n'en ressent la nécessité, comme un courant d'air entre deux portes. On en a besoin pour commencer à écrire. Et c'est ainsi que l'on peut mélanger dès les premières notes si j'ose dire des voiles de douceur à des palais de marbre, car il est évident que la beauté n'est pas quelque chose d'intrinsèque à la réalité. La beauté est un relief dont le poète caresse la musique en décryptant chaque note. Il se trouve sur le visage de beaucoup d'êtres qui nous entourent: une paupière à peine éclairée, une lèvre au cœur de l'ombre, un regard volé, peut-être un silence. Il suffit d'ouvrir les yeux pour cueillir la beauté. Quel terrible anathème que de vivre dans une civilisation où tout est devenu plastique de l'âme, parce que ma génération a joué avec des cubes en bois. Merci Léo pour ce beau commentaire et à mon tour je te souhaite un bon week-end, mais avec encore de la pluie ! À plus tard Léo. Cordialement. Francis Étienne. Un parfum de vanille au bord d'un long regard Ensorcelle la nuit de son très long poignard.
Serment d’Alcofribas Nasier
Publié le 22/03/2025
Merci Léo et de tes bons vœux pour le week-end et bien entendu pour ce commentaire. Tu as piqué dans ta lecture deux mots essentiels « ballerine » et « insectes » et très justement tu as lié ces deux mots à une « danse infinie ». On pense immédiatement aux faunes de Picasso, dont les multiples reproductions prouvent à quel point la ballerine et l'insecte se rejoignent. Ainsi vois-tu par les mots, associés d'une façon aussi brutale, le poète forge une grille d'église. Il dessine dans du fer l'extrême mobilité de la ballerine et en même temps les signifiances absolues de l'insecte, car tout insecte est insignifiant, puisqu'ils sont les plus nombreux sur cette terre ! Un poète est un visionnaire qui ne peut pas toujours dire ce qu'il voit, parce qu'il n'a pas de mots précisément. Il faut que le poète ait des mots pour dire ce qu'il voit. Lorsque je regarde une grille d'église, je ne sais pas, ou je ne veux pas savoir qui l'a forgée. Écrire, comme tu le sais, Léo, c'est d'abord faire des expériences, c'est ensuite commencé à écrire des formules de calcul ,et c'est enfin offrir E=mc2.Merci Léo encore une fois pour m'avoir donné le plaisir de t'écrire. À plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Sous le velours bleuté d'une robe du soir, On cache un cœur brisé par un grand encensoir.
Mythologie d’enfant
Publié le 22/03/2025
Cher Léo, voilà un commentaire qui plonge mon cœur dans les méandres de ce que je préfère travailler : le mot. On ne soupçonne pas la profondeur de chaque mot et son lien avec les mondes oniriques, que l'association avec d'autres mots enrichit de nouvelles directions. Oui tout est fragile, presque carrossable. Il suffit d'un mot pour faire disparaître l'image que l'on a ressentie et nous plonger dans une recherche ailleurs. Tu as bien perçu i l'immensité dans laquelle on peut plonger avec juste une touche de couleur comme Pluton. Et tu as raison de dire « suspendu à l'instant présent » car cette recherche se fait dans le présent, la seule dimension du temps dans lesquels nous pouvons agir. Bien entendu il faut que le poète ne se perde pas dans l' l'hédonisme. Il lui faut une grande discipline, cette discipline, pour moi, c'est le sonnet. Sa rigidité a la solidité des télescopes. Rien ne bouge. Il y a une raison pour chaque événement dans une vie. Le poète le sait, car sans jamais traverser la prison du temps, il sait et il sent que toute la création ne peut pas se contenir dans cette bulle de temps, infranchissable, dans laquelle il devra vivre toute sa vie. Alors il se plaque contre les parois du temps et essaye de trouver les petits trous à travers lesquels il verra l'univers. Le poète s'écorche avec la beauté. Ce n'est pas étonnant que beaucoup de gens essayent de suivre ces chemins la. On voit des chanteurs, des peintres, des musiciens, des joueurs de flûte empruntaient la route qui mène à la beauté, mais en chemin, ils abandonnent, parce qu'ils refusent de se sacrifier… et pourtant..Merci Léo pour ton commentaire qui comme d'habitude, je te dis à plus tard...à toute suite. Cordialement Francis Étienne. Des lambris de soleil enflammés de satin Voltigent sous les toits barbouillés de matin.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 22/03/2025
Quel suspens ! Bravo Léo, pour ce texte qui part d’une situationbanale et va crescendo… Science-fiction qui j’espère ne se réalisera pas !…
Ce jour où tout a basculé
Publié le 22/03/2025
C'est toujours un tel plaisir de lire ce que tu écris ! Tu sais parfaitement lier le rêve à la réalité. J'espère que c'est un nouveau départ pour toi dans le monde de l'écriture. C'est comme le sport, quand on reprend, on a toujours l'impression de ne rien avoir perdu c'est vraiment le cas pour toi. Bravo pour ce texte et à bientôt Léo et à plus tard. Chaleureusement, Francis Étienne
Ce jour où tout a basculé
Publié le 22/03/2025
Quel mélange entre réalité et fiction ! Votre texte est une dystopie avec cette application qui surveille les moindres faits et gestes du personnage principal, qui s'invite sans son consentement sur son téléphone, chose très parlante puisqu'elle nous ait déjà arrivée à tous. C'est comme si le téléphone prenait le pouvoir, ce qui est inquiétant, et on la ressent bien dans vos lignes. J'ai immédiatement pensé à 1984 de Georges Orwell car le téléphone portable est un équivalent de Big Brother, il surveille tout en permanence et son regard est oppressant, comme c'est le cas pour votre personnage principal. Et vous avez raison : ce texte mérite une suite ! Le suspens attise la curiosité !
Ce jour où tout a basculé
Publié le 22/03/2025
Merci Francis Etienne pour ton analyse très pertinente. Je souhaitais effectivement partir du quotidien de millions de personnes dont je fais partie qui vivent dans le métro-boulot-dodo dont le téléphone semble être la prolongation de l’intimité et des nouvelles activités que l’on peut désormais exporter… continuer d’être dans sa bulle, même au dehors, et face au monde qui s’acharne, avec de plus en plus de repli sur soi. Et puis je voulais aussi ouvrir une passerelle sur les mondes parallèles, qui lorsqu'elles interagissent, peuvent bouleverser tout ce train-train quotidien un peu trop établi. Je suis content d’avoir écrit tout cela d’un jet en à peine une heure, cela me permet de renouer avec la pratique de l’écriture qui nous sort justement de l’ordinaire. Bien à toi et à plus tard très cher Francis Etienne.
Epices, joyaux et cendres
Publié le 22/03/2025
Cher Léo, que voilà un commentaire magnifique dans lequel tu as puisé l'essentiel de ce poème : la légende. Je pense que si l'on demande à qui que ce soit de situer Samarcande, presque personne n'est capable de pointer le doigt sur une carte. Pourquoi ? Simplement à cause du fait que Samarcande est une légende, je dirais presque un mythe. C'est aussi un de ces mots que notre mémoire cultive avec nostalgie comme par exemple Pondichéry, Bangkok, ou Bruges. Nous avons tous rêvés sur ces mots, nous avons tous creusés la terre de notre âme pour y trouver ces perles. Et Samarcande se dessine en nous, dès que, déjà l'école primaire, nous avançons dans la connaissance parallèle à l'enseignement de l'histoire, de la géographie ou de quelconque réalité. Oui c'est vrai Samarcande a été, un des joyaux de la civilisation de l'histoire, et la seule façon de retrouver la splendeur c'est de dans la poésie, et dans la perception que le poète s'en fait. Il y voit l'orient, ses secrets; ses parfums, sa certitude de perdurer, son immobilisme du temps, et surtout sa richesse. Merci Léo pour avoir ouvert une page de mon écriture avec autant de brio. Merci encore de tout cœur et à bientôt, à tout de suite. Cordialement, Francis Étienne. Des papillotes d'or flottent dans l'air marin comme des papillons aux yeux de mandarin.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 22/03/2025
Merci Lilas, cela me touche d’autant que cela faisait un long moment que je n’avais plus écrit avec le plaisir de construire un récit qui puisse surprendre la lectrice expérimentée que tu es. C’est marrant comme une idée simple et un angle d’approche décalé peut ouvrir les portes d’un roman car vraiment il y a de quoi écrire sur ce scénario. Si seulement on pouvait mettre le temps en pause pour ne faire qu’écrire… vivement que de nouvelles technologies nous le permettent :-) encore merci ma Lilas.