Bonjour Jeff, tes mots pareils aux grains de sables d’une clepsydre qui coulent sans que rien ne puisse l’empêcher. L’usage de l’anaphore appuie sur les actions vaines de l’humain qui se voudraient être une digue mais qui ne saurait lutter face à la toute puissance et au règne de la nature. Merci pour ce partage.
Bonjour ! De ce temps révolu il ne reste que des souvenirs. La vie, inexorable, avance. Elle change, se modifie. C'est comme ça, on ne peut rien y faire, il faut l'accepter. Cela n'empêche toutefois pas la nostalgie, comme vous la faites ressentir à vos lecteurs, des bons moments. Mais regarder hier c'est aussi voir nos erreurs afin de ne pas les reproduire aujourd'hui. Chose qu'on oublie trop souvent... Merci, en tout cas, de m'avoir fait revenir en arrière !
Une fois connecté, vous pouvez surligner avec la souris le passage que vous souhaitez annoter et une fenêtre apparaît vous permettant de faire à l’endroit précis un retour ou une reformulation. C’est possible sur tous les textes qui figurent dans la forge des mots.
Bonsoir Stanislas, je suis pleinement dans ton récit vraiment bien écrit. En annotation une coquille et le signalement de l’endroit où le texte a été mis en double. A suivre.
Bonjour et bienvenue sur le peuple des mots. On perçoit ici une volonté de représenter l’acte sexuel comme une pulsion irrépressible, disons-le, animale, à travers un vocabulaire équestre. Ce choix renforce une idée de domination physique, qui peut certes choquer, mais reflète aussi une tradition littéraire de l’érotisme brut. La question se pose toutefois de la réception de telles images de nos jours, à la fois entre fascination et inconfort.
Un texte aux formules efficaces pour (ré)éveiller la conscience au carrefour de toutes les possibilités . L’Humain et son évolution alors qu’il n’était qu’être parmi les autres. De l’efficacité dans les mots, dans les images, dans les sonorités avec quelques allitérations, un beau texte, merci Jeff.
Merci beaucoup Léo. Il est tout à fait vrai qu'il y a là une tension schizophrénique. J'ai essayé d'écrire un texte fantastique, c'est à dire une hésitation entre le quotidien et le merveilleux.
Bonjour et bienvenue Balu. Et merci pour ce premier texte qui me permet de vous découvrir en texte et en styles. Vous écrivez bien et même sur plusieurs séquences de façon littéraire (de très belle facture) et dans le même temps vous êtes sur un récit léger comme on pourrait parler de vive voix. C’est pour cela que j’ai mis un « s » à style précédemment : vous n’en avez pas un mais plusieurs qui se cherchent, et qui se neutralisent puisqu’aucun ne prend véritablement sa place. Vous vous doutez bien que je ne saurais que vous encourager à aller à fond sur votre style littéraire qui franchement en a sous le coude. En tout cas vous avez matière à… et puis enfin vous féliciter car vous parvenez à créer une ambiance qui confine à la folie pure en toute fin et j’ai pensé à Maupassant (qui est dispo dans la bibliothèque du site en même temps que « Le chien des Baskerville » mentionné dans votre écrit). Lorsque vous aurez trouvé et fait des choix dans votre écriture, je crois vraiment que vous allez écrire de grandes choses. Merci de votre partage et confiance ce faisant.
J’aime énormément cette écriture déstructurée et poétique, où les sonorités rebondissent enjouées et se mêle à la gravité des situations (vampire, torrent, sans coeur…), un chouette assemblage qui derrière son apparence candide, semble avoir particulièrement été bien travaillé. Bravo Jeff.
Bonjour et merci pour ce récit sincère et authentique qui exprime bien les difficultés économiques qui obligent dans plusieurs pays du monde à faire des sacrifices et à exploser les familles. Et de permettre aussi de faire juxtaposer côte à côte différentes cultures aux approches souvent bien différentes. Merci Yana.