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Sur la route. Le rouleau original
Publié le 10/01/2025
Je mets cinq… pour cette chevauchée fantastique en quête d’espace et d’idéal qui reste gravée dans mon cœur. Mon idéal, c’est la totale liberté de Neal. A mon avis, une femme n’a aucun intérêt à tomber amoureuse de lui, il faut qu’elle épouse sa propre liberté comme il le fait lui-même. En revanche, si l’on veut tout essayer dans la vie pour trouver sa voie, , il faut faire d’abord le choix moral de la solitude. Ainsi, on ne fait de mal à personne et personne n’a rien à nous pardonner.
Sur la route. Le rouleau original
Publié le 10/01/2025
Je comprends. C'est le LEUR et le LUI qui me posaient problème mais c'est correct. "Leur" est décidément un mot tordu. ;-)
Sur la route. Le rouleau original
Publié le 10/01/2025
C’est Jack Kerouac qui confirme ce que lui a dit sa mère. Les femmes dans l’ouvrage et probablement à cette époque etaient largement délaissées par les hommes dont beaucoup leur en faisaient voir de toutes les couleurs.
Peuple des mots, acrostiche
Publié le 10/01/2025
Bonjour et merci Monique pour votre très belle participation qui rend un bien bel hommage aux mots qui nous mènent comme vous le dites si bien, par le bout du nez. Écrire sans plus se poser de question, juste pour le plaisir. In sent bien dans votre texte le mot-matière que l’on peut manipuler sans modération. Pensez à raccrocher votre texte sur la page de l’atelier, ainsi tous les participants seront notifiés de votre participation et pourront lire votre texte ! Vous pouvez aussi si vous le souhaitez inscrire une courte bio et vous référencer sur la carte (Votre ville ou même une ville alentour si vous préférez. En tout cas merci de nous avoir rejoints en participation !
Sur la route. Le rouleau original
Publié le 10/01/2025
Belle analyse. Il y a juste une phrase incompréhensible "Elle m’a dit un jour que le monde ne trouverait pas la paix tant que les hommes ne se jetteraient pas aux genoux de leur femme pour lui demander pardon. C’est vrai." ;-)
Spicilège
Publié le 09/01/2025
Bonjour Léo, j'ai choisi ce mot parce que je suis tombée dessus par hasard, et il m'a inspiré. Grâce à votre remarque je me suis rendue compte d'une grossière erreur : l'emploi de la première personne prête à confusion dans la compréhension de l'acrostiche avec son explication (dont j'ai reformulé certaines phrases qui n'étaient pas claires). Le lecteur ne sait pas si c'est moi ou l'autrice qui parle, alors qu'il s'agit de l'autrice. En passant à la troisième personne il n'y a plus de doutes, d'autant plus que cela était mal placé de ma part de parler à la place de Mary Shelley (qui est bien plus douée que moi). Mon objectif n'est pas de parler tout le temps de moi donc, si j'emploie la première personne il faut que je précise qui dit "je". Je vous remercie de me l'avoir fait remarquer, c'est une erreur immédiatement corrigée. Quant au monstre de Frankenstein il n'est pas mort à la fin du roman car il est toujours présent parmi nous deux siècles après, comme vous le soulignez en parlant de la capacité des humains à créer des monstres. Je vous souhaite un bon rétablissement.
Changement d'état II : Tristesse
Publié le 08/01/2025
Lorsque les éléments se liguent de toute leur puissance pour mettre â l’épreuve le modeste humain. C’est un peu comme David contre Goliath et c’est ce que je trouve beau : de toute sa faiblesse l'humain par sa résilience et son abnégation n’est pourtant pas couché. C’est héroïque de braver tant d’afflictions. Merci Perthro.
Témoin protégé
Publié le 08/01/2025
Bonsoir Quentin, une vilaine grippe m’a écarté de la lecture à laquelle je viens enfin de m’adonner. Et une nouvelle fois une bonne surprise même si pour une fois je m’en suis douté. J’ai immédiatement pensé à la méthode Lean qui s’est appliquée dans plein d’entreprises qui voulaient optimiser le rendement. À la question qu’est-ce qui est superflu pour vous ou quelles sont sont les taches inutiles, immanquablement ont dégagé du temps pour faire plus du coup ou alors même supprimer des postes qui pouvaient se repartir sur ces optimisations…. Et comme les idées venaient des ouvriers, comment revenir dessus ensuite. Et au final, au delà même de l'énorme boost de productivité, les ouvriers ont gagner quelques euros de plus contre des milliers et centaines de milliers gagné par les entreprise: en matière de profit, l’humain ne cesse de surprendre, et ton texte rondement bien mené. Bravo et à plus tard Quentin.
Spicilège
Publié le 08/01/2025
Bonsoir et merci Lucie, j’arrive après une bonne grippe A qui m’a cloié au lit ce début de semaine. J’ai été très intrigué par le titre dont je ne connaissais pas le mot. Un acrostiche mené avec soin et patience comme en témoigne les très convaincantes explications. Frankestein est une oeuvre puissante et majeure de la littérature car elle narre la capacité des humains à créer des monstres et des monstres, il y en a plein de nos jours, et les mots ils me semblent, peuvent servir de libération, d’émancipation, de guérison, de rédemption etc… pour bien des personnes. Un terme revêt souvent les deux faces d’une même médaille, une dualité qui est le propre de l’homme. Et puis une mention pour le second acrostiche très malin. Ma seule remarque porterai sur l’usage de la 3eme personne a la place de la première, c’est encore plus impactant lorsque tu t’adresses à nous. En partant de toi directement. A plus tard et encore merxi Lucie.
Herbe verte
Publié le 06/01/2025
Bonjour Perthro, je suis contente que cela vous fasse plaisir de voir ce que votre écrit a suscité chez moi. L'évocation des doutes que l'être humain peut avoir au cours de sa vie est très intéressante, à tel point que j'écrirai peut-être un texte sur le même sujet, j'y poserai peut-être mon point de vue.
Herbe verte
Publié le 05/01/2025
Bonsoir Léo, meilleurs vœux à toi aussi! Merci pour ton commentaire. Ah, la fluidité.... J'avoue que c'est là quelque chose que je tente d'avoir à chaque ligne, en effet. Quant au sens, je me rends compte qu'effectivement, il a tendance à toujours être proche de ce sens de la vie et de sa fragilité, c'est vrai. C'est souvent aussi très introspectif je crois.
Herbe verte
Publié le 05/01/2025
Bonsoir Lucie, meilleurs vœux à vous aussi. Merci pour votre analyse pertinente de ce texte! J'avoue que je n'étais pas allé aussi loin et cela me fait plaisir de voir ce que quelques écrits peuvent susciter.
Un tout petit monde
Publié le 03/01/2025
Merci Myriam, ta chronique m’a passionné. Non pas pour la thematique universitaire mais bien pour les mots qui tentent de s’organiser en communication et puis surtout le sujet de société dont tu parles à la fin qui amènent légitimement des questionnements et en même temps (et là on sait de qui on parle) a été propulsé à la tête de l’Etat un étudiant et sa prof. En tout cas, c’est la première fois que je lis quelque chose sur David Lodge dont je ne connaissais que le nom. A creuser: a plus tard.
Un tout petit monde
Publié le 03/01/2025
;-) On te sent enthousiaste ! ;-)
Un instant
Publié le 03/01/2025
Très bien Sahar, je pensais que comme nous étions sur des chapitres, on partirait sur du long. Vivement la suite:
Un instant
Publié le 03/01/2025
Lucie, merci pour votre attention et vos remarques. La complexité des émotions et une certaine tension étaient ce que je cherchais dans cette histoire courte. Bien sûr, après la prochaine partie, je fournirai plus d'explications et je serai ravi de recevoir à nouveau vos retours. je publierai la suite ici.J'espère que cette histoire saura toucher votre cœur, comme elle m'a touché en l'écrivant.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Myriam, merci beaucoup pour votre attention et vos remarques subtiles et perspicaces. Je dois dire que j'adore les histoires courtes, car je pense que nos émotions, avec toute leur complexité, peuvent parfois se transformer en une histoire courte qui allume une étincelle dans l'esprit du lecteur. En fait, je pense que les histoires courtes sont une partie de nos milliers d'émotions que nous voulons rapidement capturer avant qu'elles ne s'estompent, tout en transmettant un message au lecteur. C'est une histoire courte, et je partagerai bientôt la fin. à très bientôt.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Merci, comme toujours, pour ton attention et tes remarques, Léo. Merci pour tes conseils sur les flashbacks et la structure narrative. J'y ai bien réfléchi et je prendrai certainement ces éléments en compte dans mes prochains écrits. Il est important de préciser que c'est une histoire courte et que la suite, en fait la fin, que je partagerai probablement, sera sans doute plus facile à analyser.
Belle année à vous tous acrostiche
Publié le 03/01/2025
Bravo Vickie pour ces voeux de bonne année en acrostiche. J'espère que "l'unique valeur mère" dont tu parles rayonnera sur nos mots cette année en "attendant du neuf". J'espère avoir suffisamment d'"emphase dans le coeur" pour achever les histoires qui couvent sur le papier. J'espère qu'elles pourront tous nous relier. Meilleurs voeux à vous!
Un tout petit monde
Publié le 03/01/2025
Merci, je n'ai pas lu mais j'ai appris son dernier au revoir. Belle recension
Un tout petit monde
Publié le 03/01/2025
Un de mes auteurs favoris.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Bonjour Sahar ! Les flashbacks sont une bonne idée, il permettent d'avoir l'attention du lecteur sur l'histoire qui se raconte. Ils contribuent à me rendre curieuse quant à la suite. Il faut, je pense, bien repérer ces points de "suspens" pour les développer par la suite sinon le lecteur risque de ne pas comprendre, voire être déçu de rester avec un mystère à la fin (sauf si c'est un effet voulu mais c'est plus complexe je trouve). Enfin, concernant le personnage de Roland il serait peut-être été utile de savoir qui il est dès le début, à moins qu'on le retrouve plus tard dans le récit, mais à ce moment là il faudra trouver un moyen de rappeler au lecteur qu'il l'a déjà vu, peut-être par une adresse de l'auteur au lecteur qui permettra d'installer une confiance, ce qui me semble judicieux. Mais faites comme il vous plaira, je ne fais que suggérer ! Au plaisir de vous lire.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Bravo Sahar. Évidemment le sujet est intéressant. C’est très bien écrit et c’est un beau début in media res. La phrase « mais à cet instant je savais parfaitement que la signature n’était qu’un prétexte » est très forte. Je réserverais stratégiquement « la vraie raison » à un autre chapitre pour enchaîner directement de « prétexte » à l’autre phrase « je partais pour chercher quelque chose que j’avais perdu depuis des années ». Votre texte est intéressant mais vous gagneriez en impact ainsi à mon avis. Plus que d'expliquer le prétexte rapidement, vous pouvez insister sur l'aspect sensoriel pour montrer l'angoisse ou décrire physiquement comment elle a changé (elle se regarde dans la vitre du bus par exemple, ce qui donne lieu à une description physique). J’ai le même raisonnement pour « je n’étais plus la même »… « je pensais à tout ce que j’avais laissé derrière moi ». Si vous esquissez la trajectoire de votre personnage dès l’incipit, vous dessinez un bel arc narratif mais en terme d’histoire, vous répondez déjà aux questions qu’un lecteur se pose: pourquoi part-elle, que va-t-elle chercher, pourquoi se ment-elle à elle-même avec ce prétexte ? On peut donner la fonction des personnages dès le début (oncle, père, etc) sans définir ou la laisser en suspend surtout si le chapitre est court. Les questions sont bien aiguisées, ma curiosité attisée, alors il ne reste plus qu’à développer le prétexte dans les autres épisodes. J'ai hâte de lire la suite. A bientôt de vous lire.
Ravel, pour le Peuple des mots; avec gratitude
Publié le 03/01/2025
Joli texte nostalgique. Avec l’année nouvelle reviennent les souvenirs de nos anciennes nouveautés. Elles nous semblent irremplaçables ces premières fois. Pourtant nous sommes nouveaux chaque jour… mais nous oublions un peu l’émerveillement au profit de l’habitude. Je vous souhaite de l’étonnement et d’heureuses surprises pour cette année Gilbert.
Ravel, pour le Peuple des mots; avec gratitude
Publié le 03/01/2025
Premières salles de ciné, premier opéra, premiers émois… ces moments qui font de la vie des moments inoubliables, 43 ans après et même 53 ans si l’on en juge la date d’écriture.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Bonsoir Sahar et merci de partager avec nous ce projet. A ce stade il ne faut pas se poser de question, il faut laisser filer le clavier et commencer à échafauder un plan pour structurer le récit à venir. L’important est de rapidement avoir une prise avec les personnages car ce sont eux qui vont nous mener, lecteurs par le bout du nez. Les flashbacks sont utiles pour distiller des informations commençant à brosser la personnalité à travers l’histoire des personnages. Il faut aussi que l’on puisse se représenter physiquement les personnages Exemple : "dans le reflet de la vitre qui la conduisait vers un pan de son passé, elle ramena sa mèche brune en arrière comme pour mieux sonder son regard qui appréhendait ce qu’elle y trouverait » on a des infos sur la couleur des cheveux, on sait qu’elle est anxieuse et ça fait naître une intrigue : pourquoi elle est inquiète sur son passé ? etc… c’est important pour tenir son lectorat en haleine. Exemple : en descendant elle se fit bousculée, elle se retourna et qui elle vit la laissa sans voix. Et là on a hâte de savoir qui c’est par exemple (et puis surtout ça permet de meubler car un roman c’est long à écrire et les chapitres devront être plus longs. En tout cas, fonce et éclate toi, quitte à perdre la maîtrise du personnage qui devirndra au fil de ton écriture qui il aura envie d’être où de revendiquer.
Un instant
Publié le 02/01/2025
Si le sujet vous a intéressé, n'hésitez pas à me le faire savoir pour que je publie la suite ici.
Herbe verte
Publié le 02/01/2025
Je me suis régalé et du magnifique sonnet de Perthro, et de ton analyse, merci et bonne année Lucie.