Bravo Léo pour ces deux définitions très bien décrites dans cet acrostiche rondement mené
A bientôt
Et merci d'aborder ces deux thèmes opposés et pourtant coexistant l'un à côté de l'autre dans ce monde
Je vous remercie pour votre commentaire. J'ai écrit ce texte en opposant ce qui est de l'ordre du physique, constatant avec dépit qu'il prend trop de place dans nos sociétés (alimenté par les réseaux sociaux), contrairement à ce qu'il se passe à l'intérieur, qui est plus authentique, plus singulier, moins artificiel donc plus touchant. Cela l'est d'autant plus quand il nous est donné de le voir (si la personne consent).
Bonjour et enchanté Gilbert ! Merci de me faire voyager à Jérusalem avec une fluidité rendue possible grâce à la mélodie des mots, et à leurs jeux dont vous faites un bon usage. Au plaisir de vous lire à nouveau !
Ses fleurs de l’ombre qui poussent à l’intérieur jusqu’à être fatal… ces habits de malheurs, qui voilent la vue et les perceptions, jusqu’à ce que la poésie ouvre grand les fenêtres de l’âme pour chasser la nuit et l’obscurantisme… merci très chère Lucie.
Bonjour et un nouveau grand merci Quentin pour ce nouveau texte qui réussit une nouvelle fois à me retourner en une phrase qui conclut brillamment ton texte. Ce que j’aime d’un texte à l’autre c’est ce magnifique travail mené pour donner vie au terroir et à en faire quasiment le personnage principal, et c’est cette fois le Morvan qui jouit de ce beau cadeau. Ensuite je tiens à saluer le travail de documentation et de transmission qui enrichit le lecteur, et dans ce texte, l’approche d’un métier qui effectivement semble destiné à disparaître, même si le plus intéressant n’est pas tant la disparition du métier, mais de ceux qui leur prêtent vie avec un sacrifice tel qu’il est admirablement bien conté dans ton texte. Bravo, on en redemande encore et encore.
Ces ballades de l’âme qui font un bien fou, merci encore et toujours Perthro, et plus encore même puisque je viens de découvrir le mot « Argutie » que je trouve somptueux pour celles et ceux qui souhaitent exprimer avec précision l’usage des mots et de leurs intentions. J’aime beaucoup également le rappel fait que c’est en cheminant que l’on apprend et que l’on s’exhausse, par l’apprentissage, le courage et la détermination, mais tout en douceur. A plus tard.
Un bel écho Lucie au très beau texte de Perthro, on le lit avec une vive émotion tant la sensibilité et la fragilité sont de mises. Juste une petite remarque que je te propose en annotation. A plus tard Lucie.
Bonjour Quentin ! Je suis enchantée de faire votre connaissance. C'est intéressant d'aborder les métiers de l'artisanat, et la problématique qu'ils rencontrent face au progrès technique : ils ne peuvent pas suivre. De plus en plus on s'éloigne de l'authentique pour l'artificiel plutôt que de les faire cohabiter. Vous montrez bien que ce n'est pas toujours facile de vivre pour les artisans, et que certains savoirs risquent de se perdre. Votre écriture est facilement compréhensible, et fluide. Le lecteur, je pense, doit bien se souvenir de ce qu'il a lu précédemment, quand il descend de lignes en lignes, sinon il risque de se perdre. La chute est bien amené, on comprend que les difficultés familiales compliquent aussi les choses. Tout ceci étant écrit, j'espère vous relire à nouveau !
Merci Lucie pour ce texte. Je suis touché par l'inspiration que j'ai pu vous transmettre. Les voyages en train sont inspirants je trouve. J'ai souvent tendance à me mettre à contre-sens, et je le paysage qui défile s'éloigne au lieu de se rapprocher. Mais sans doute est-ce une fuite de ce fait. Ces coups de Soleil nous abîment et nous rendent plus fragiles chaque jours. A nous de trouver les baumes apaisants qui vont calmer la brûlure.
Merci Léo pour ce commentaire. Il m'oblige... Je ne sais pas si cette chanson est un baume mais, en tout cas, elle en est le témoignage et encore une fois, le fait de l'avoir écrite m'a sans doute apaisé. Mais si cela peut en apaiser d'autres, j'en suis heureux!
Oui, c'est aussi ce que j'ai compris. Votre texte sensible me fait penser que nous avons la chance d'avoir des baumes tels que l'amour, la bienveillance, la gentillesse, ou encore la solidarité, et qu'il est important de les cultiver car cela, et on ne le sait pas toujours ce qui est dommage, peut sauver des vies. Parfois, sans le savoir, on sauve une vie.
Tant d’aliénation dans la condition humaine… jet que de question sans réponses jusqu’au terminus. Je trouve aussi que les voyages en train sont propices aux questionnement et parfois même aux pensées introspectives. Ton texte et son interprétation sensible, presqu’un murmure sont aussi de magnifiques baumes pour apaiser les âmes pleine de bleus. Merci Perthro.
Merci Lucie de partager ce texte très beau. Ces coups de Soleil sont légions dans certaines régions. Il faut savoir s'en prémunir lorsque ce satané Soleil est trop fort. Mieux vaut prévenir que guérir. C'est en tout cas la leçon que j'ai pu tirer de cette histoire.
Et moi de regarder, avec tristesse, le passé,
Dont je porte les coups de soleil qui viennent ronger,
De leur chaleur ardente, ma peau desséchée.
Dévorée par l'affreuse peste
Je m'accroche au peu d'innocence qu'il me reste,
Chéris le rêve, l'imagination, les folles ambitions,
Au risque de me bercer d'illusions,
Pour apaiser les frissons.
Les doutes m'assaillent, les questions me bousculent,
La réalité s'écrase contre ma bulle,
Encerclée par ces points d'interrogations,
Je veux que me sauve l'affirmation.
Alors pour écarter ce passé plus loin
Je saute dans le premier train,
Et file vers ma nouvelle destinée,
Me poussant dans les bras de la liberté,
N'ayant pas encore la force
D'accepter ce que m'ont fait ces fauves féroces.
Lucie R (texte soumis au droit d'auteur)
Une nouvelle fois un grand bravo mais aussi un grand merci, les règles sont encore un sujet tabou, et c’est bien de pouvoir lire ce genre de texte qui en parle sans détour ni tabou. A plus tard Sahar.
Quelques temps d’humanité qui font du bien à lire, et à vivre. La solidarité ne règle pas tout mais elle est indispensable pour celui qui la reçoit disait l’ancien président du Secours populaire en France. D’humains à humains, il y a plein de chose à faire pour changer considérablement des quotidiens. Merci pour ce trèS beau témoignage Patrice.
Leo, je vous remercie infiniment pour vos encouragements. Je suis ravi que mon texte ait pu résonner avec vous. En ce moment, je me consacre exclusivement à l’écriture de nouvelles, et j’ai hâte de partager prochainement d’autres écrits avec vous.
Merci Lucie ! C'est un clin d'oeil, car je n'ai vraiment pas l'habitude d'écrire des rimes. Mais j'aime bien les chemins inattendus où elles m'entrainent parfois.
Bonsoir Monique ! Vous avez raison, ce sont les mots qui nous entraînent parce qu'ils sont une porte d'entrée idéale vers la liberté, et chacun d'eux porte la marque de celui où celle qui les écrit, les battements de son cœur, sa vie. Encore merci pour ce bel hommage à l'écriture, trébuchante comme sûre, qui est notre noyau dur.
Ce second chapitre est vraiment très emouvant et je n’ai pour ainsi dire pas grans chose à dire si ce n’est bravo. Et plus encore de m’avoir cueilli sur cette fin inattendue. Les émotions sont tellement denses et les scènes si précises qu’on les vit sans se douter de ce qui va advenir. Il faut continuer d'écrire. Merci pour ce moment de lecture et d’émotion.