D'outre Transylvanie
Merci cher Léo de ton nouveau commentaire qui fait bien le tour des sensations que tu as eues pendant la lecture de ce texte. En effet il y a bien un opera de Weill et un film que je ne connais pas. L'âme humaine dont Balzac dissèque les moindres lambeaux nous montre son fond de misérable laideur. Nous ne semblons lui accorder l'importance que cela devrait avoir mais c'est ainsi. L'homme, souvent aveugle sur lui, perçoit la moindre faille chez l'autre, développant alors la haine et le rejet. L'espoir, n'est-il pas celui du changement et pouvons-nous nous en contenter ? C'est la question que je me pose mais déjà depuis longtemps mon écriture et la composition de mes textes semblent bien critiques à ce sujet. Merci encore Léo pour ta constance et surtout pour ton amitié que je chéris comme un précieux Tresor. A plus tard, Cordialement, ton ami Francis-Etienne. Etendu dans la brume un rayon de la lune Trace invisiblement un nom sur une enclume.